Ce sont des satanistes et non des musulmans qui profanent des églises en France selon un expert juridique.
17 juillet 2019 - Life Site News
"Les attaques anti-chrétiennes en France on quadruplé" selon le titre d'un article récent dans "Real Clear Investigations" de Richard Bernstein, ancien rédacteur en chef du bureau parisien du New York Times.
C'est un article intéressant et bien documenté qui évite d'expliquer le phénomène inquiétant de manière simpliste. Bien que les musulmans soient de plus en plus présents en France - et malgré les spectaculaires attentats terroristes islamistes visant des personnes isolées ainsi que des groupes comme à Nice ou au Bataclan à Paris - les profanations d'églises, de chapelles et de cimetières seraient le fait de vandales français "autochtones", dont la majorité sont adolescents ou jeunes adultes.
Mais si cette histoire lève le voile sur la tendance inquiétante que seul la presse de droite la plus traditionnelle en France couvre régulièrement, elle ne souligne pas ce qui est souvent la cause première de quelque chose qui est plus du simple vandalisme : des attaques sacrilèges sur des lieux et des objets que les catholiques considèrent comme sacré.
La véritable cause du nombre croissant d'attaques est le fait du "satanisme" a déclaré Bernard Antony, fondateur de l'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne (AGRIF) dans un interview exclusif avec LifeSiteNews (lire l'interview en entier plus bas).
"Ainsi très souvent les satanistes sont souvent impliqués" a déclaré Antony. "les attaques directes contre les hosties consacrées, que les catholiques savent étant le Christ lui-même, sont la marque d'une entité directe contre le Fils de Dieu et de nombreuses attaques récentes (...) sont des expressions délibérées de haine contre tout ce qui est chrétien, non pas d'un point de vue laïc ou sociale-révolutionnaire mais en hommage à Satan lui-même" ajoute-t-il.
En 2018, la police a dénombré 127 vols et 877 actes de vandalisme : quatre fois plus qu'en 2008. 228 "actes anti-chrétiens violents" ont eu lieu pendant le seul premier trimestre de 2019, selon la Conférence des Evêques.
Les vols sont une chose. De nombreuses églises historiques français d'innombrables chapelles qui parsèment la campagne possèdent des oeuvres d'art de valeur et des objets de liturgie ; le vol n'est pas un phénomène nouveau.
La destruction volontaire de tombes et de croix, de mobilier d'église et de statues, d'incendies et d'attaques contre les tabernacles est un problème croissant. Dans beaucoup de cas, on a affaire à des actes de violence gratuite dont le seul but est la destruction et la profanation.
Un site conservateur faisant partie du réseau de blogs de Guillaume de Thieulloy, L'Observatoire de la christianophobie, signale bon nombre d'incidents en France et dans le reste du monde.
L'une des plus récentes profanations expliquées dans ce site a eu lieu en Bretagne la semaine dernière : une église paroissiale vieille de plusieurs siècles, Saint-Budoc de Porposder a été "visitée" par des vandales. Ils n'ont pas seulement volé le contenu du tronc mais des mégots de cigarettes jonchaient le sol autour d'une statue de la Vierge Marie et du vomi a été découvert dans les bénitiers.
Non loin de là, la chapelle la plus photographiée de France, Saint-Samson de Landunvez, qui surplombe la mer de façon impressionnante d'une haute falaise, a été cambriolée quelques jours auparavant. Un crucifix a été retrouvée dans une poubelle.
En France en particulier, ces destructions et ces profanations de sites catholiques ne font la une des journaux que lorsqu'ils sont particulièrement graves. On peut faire la comparaison avec le fait que la moindre inscription désobligeante sur une mosquée ou une synagogue deviennent des informations de premier plan et sont généralement suivies de condamnations fermes au niveau gouvernemental.
L'une des attaques les plus spectaculaires des derniers mois a affecté le cimetière de Terre-Cabade, un grand cimetière près du centre de Toulouse : 70 tombes et des croix ont été détruites. A une occasion précédente, le même cimetière a été vandalisé, un conseiller municipal local a déclaré aux médias que la profanation n'était pas de caractère "raciste" parce qu'aucune tombe musulmane ou juive n'a été attaquée.
L'AGRIF, une association de défense fondée par Antony - qui a aussi crée le nouveau pèlerinage de Chartres dans les années 1980 - allaient plus tard obtenir quelques dédommagements appropriés pour la nature anti-chrétienne de cet acte.
L'AGRIF a également déposé plainte pour la récente profanation de Toulouse. Elle ne peut pas toujours intervenir au niveau judiciaire car les coupables doivent d'habitude être identifiés en premier lieu pour que la procédure judiciaire puisse aboutir.
Un acte clairement anti chrétien a eu lieu dans le cimetière de Labry dans l'est de la France en 2015. Plusieurs mineurs habillés en style "gothique" ont retourné des croix à l'envers, ont détruit des tombes et des plaques et ont inscrit des graffitis satanistes. Ils ont déclaré à leurs juges en première instance qu'ils voulaient "s'amuser" et "faire des actes contre Dieu et Jésus". Néanmoins, le tribunal pour mineurs de Briey a décidé qu'il n y avait pas de motivations anti chrétiennes.
Ce n'est que lorsque l'AGRIF a fait appel de la décision que les juges de la cour d'appel ont reconnu que les actes exprimaient du "racisme" anti chrétien, de tels crimes sont légalement qualifiés en France.
Les incidents révélaient deux caractéristiques communes à bien de ces actes en France : leurs motifs spécifiquement anti chrétiens sont très souvent minimisés par les autorités civiles et religieuses, et sont régulièrement le fait de "gothiques" et de jeunes satanistes.
Dans cet article écrit pour RealClearInvestigations, Richard Bernstein, souligne avec justesse le fait que la vague de profanations touchant les cathédrales, les chapelles et les églises ne peuvent pas être systématiquement attribuées aux musulmans, mais nomme une "frange sociale d'une laideur désespérante" comme principalement responsable de ces attaques qui s'en prend rarement à des personnes, seulement à des bâtiments et des objets symboliques. Il a cité le quotidien d'extrême gauche anarchiste Libération pour expliquer que "dans 60 pour cent des incidents, on trouve des graffitis satanistes, des symboles anarchistes, des swastikas des slogans nationalistes ou néo-nazis."
Bien des coupables lorsqu'ils sont arrêtés, semblent être des jeunes gens désabusés ou qui sont psychologiquement perturbés ou sans domicile fixe plus que des membres de groupes avançant un programme politique" écrit-ils, Bernstein a aussi cité les scandales pédophiles récents touchant l'Eglise catholique, même si la France a été relativement préservée en la matière, ainsi que le mouvement des Gilets Jaunes.
Bien des coupables lorsqu'ils sont arrêtés, semblent être des jeunes gens désabusés ou qui sont psychologiquement perturbés ou sans domicile fixe plus que des membres de groupes avançant un programme politique" écrit-ils, Bernstein a aussi cité les scandales pédophiles récents touchant l'Eglise catholique, même si la France a été relativement préservée en la matière, ainsi que le mouvement des Gilets Jaunes.
Bernstein a cité un certain nombre d'actes éminemment sacrilèges qui ont eu lieu au cours des derniers mois - Ils incluent de la défécation près de statues, des actes spécifiques contre des hosties consacrées, des dégradations de croix et de statues. Est-ce que la "perte d'autorité" de l'Eglise est en cause comme l'a invoqué un commentateur ou est-ce "l'impression que l'Eglise est un obstacle à la vie contemporaine ?"
L'historien orthodoxe Jean-François Colosimo a cité Bernstein : "est-ce de la christianophobie ? Non ! Est-ce une perte du sens du sacré ? Oui !"
Bernstein a aussi écrit : " ce genre de chose cause une vraie consternation, Henri Lemoigne, le maire d'une ville située au bord de la Manche, a déclaré à un magazine catholique après que quelqu'un ait pénétré le tabernacle de l'église locale et répandu son contenu sur le sol, il était en train de chercher quelque chose à voler. "
Cette dernière remarque est une preuve concrète que Bernstein passa à côté de son sujet. Les attaques directes sur des hosties consacrées, que les catholiques considèrent comme le Christ lui-même, sont une marque d'une animosité directe envers le Fils de Dieu, et bien des attaques récentes dont il parle sont des expressions délibérées de haine envers toutes choses chrétiennes; non pas d'un point de vue laïc ou social-révolutionnaire mais en hommage à Satan lui-même. Malheureusement - et ici encore, Bernstein souligne pertinemment un facteur commun dans ces affaires - l'Eglise catholique ne prend pas le problème à bras le corps. Il a cité une phrase révélatrice de l'évêque de Marseille Georges Pontier et dans les derniers développements de sa présidence de la Conférence des Evêques de France - par coïncidence, il est né à Lavaur dont la cathédrale a été profanée si récemment - a dit au National Catholic Register : "Nous ne voulons pas développer un discours de persécution. Nous ne voulons pas nous plaindre."
La priorité de l'Eglise est le dialogue inter-religieux pour éviter les conflits." Bernard Carayon, le maire de Lavaur - qui craint de ne pas parler de christianophobie - a déclaré à Richard Bernstein.
Dans cet article écrit pour RealClearInvestigations, Richard Bernstein, souligne avec justesse le fait que la vague de profanations touchant les cathédrales, les chapelles et les églises ne peuvent pas être systématiquement attribuées aux musulmans, mais nomme une "frange sociale d'une laideur désespérante" comme principalement responsable de ces attaques qui s'en prend rarement à des personnes, seulement à des bâtiments et des objets symboliques. Il a cité le quotidien d'extrême gauche anarchiste Libération pour expliquer que "dans 60 pour cent des incidents, on trouve des graffitis satanistes, des symboles anarchistes, des swastikas des slogans nationalistes ou néo-nazis."
Bien des coupables lorsqu'ils sont arrêtés, semblent être des jeunes gens désabusés ou qui sont psychologiquement perturbés ou sans domicile fixe plus que des membres de groupes avançant un programme politique" écrit-ils, Bernstein a aussi cité les scandales pédophiles récents touchant l'Eglise catholique, même si la France a été relativement préservée en la matière, ainsi que le mouvement des Gilets Jaunes.
Bien des coupables lorsqu'ils sont arrêtés, semblent être des jeunes gens désabusés ou qui sont psychologiquement perturbés ou sans domicile fixe plus que des membres de groupes avançant un programme politique" écrit-ils, Bernstein a aussi cité les scandales pédophiles récents touchant l'Eglise catholique, même si la France a été relativement préservée en la matière, ainsi que le mouvement des Gilets Jaunes.
Bernstein a cité un certain nombre d'actes éminemment sacrilèges qui ont eu lieu au cours des derniers mois - Ils incluent de la défécation près de statues, des actes spécifiques contre des hosties consacrées, des dégradations de croix et de statues. Est-ce que la "perte d'autorité" de l'Eglise est en cause comme l'a invoqué un commentateur ou est-ce "l'impression que l'Eglise est un obstacle à la vie contemporaine ?"
L'historien orthodoxe Jean-François Colosimo a cité Bernstein : "est-ce de la christianophobie ? Non ! Est-ce une perte du sens du sacré ? Oui !"
Bernstein a aussi écrit : " ce genre de chose cause une vraie consternation, Henri Lemoigne, le maire d'une ville située au bord de la Manche, a déclaré à un magazine catholique après que quelqu'un ait pénétré le tabernacle de l'église locale et répandu son contenu sur le sol, il était en train de chercher quelque chose à voler. "
Cette dernière remarque est une preuve concrète que Bernstein passa à côté de son sujet. Les attaques directes sur des hosties consacrées, que les catholiques considèrent comme le Christ lui-même, sont une marque d'une animosité directe envers le Fils de Dieu, et bien des attaques récentes dont il parle sont des expressions délibérées de haine envers toutes choses chrétiennes; non pas d'un point de vue laïc ou social-révolutionnaire mais en hommage à Satan lui-même. Malheureusement - et ici encore, Bernstein souligne pertinemment un facteur commun dans ces affaires - l'Eglise catholique ne prend pas le problème à bras le corps. Il a cité une phrase révélatrice de l'évêque de Marseille Georges Pontier et dans les derniers développements de sa présidence de la Conférence des Evêques de France - par coïncidence, il est né à Lavaur dont la cathédrale a été profanée si récemment - a dit au National Catholic Register : "Nous ne voulons pas développer un discours de persécution. Nous ne voulons pas nous plaindre."
La priorité de l'Eglise est le dialogue inter-religieux pour éviter les conflits." Bernard Carayon, le maire de Lavaur - qui craint de ne pas parler de christianophobie - a déclaré à Richard Bernstein.
Interview complète de LifeSiteNews avec Bernard Antony de l'AGRIF
LifeSiteNews : d'après vos connaissances, pouvez vous confirmer qu'il y a d'autres coupables de ces actes anti-chrétiens ?
Bernard Antony : Oui, ils ne sont pas toujours musulmans et je ne peux pas dire qu'une majorité de ces actes sont commis par des musulmans. Nombre de ces profanations sont commises par des musulmans mais le fait le plus récent qui me vient à l'esprit est l'extraordinairement importante profanation du cimetière de Terre-Cabade à Toulouse : il semblerait encore une fois que nous n'avons pas affaire à des musulmans et comme par hasard, la destruction s'est produite juste après la Gay Pride de Toulouse. La destruction précédente qui a fait l'objet d'arrestations de coupables et qui a vu l'implication de l'AGRIF, de jeunes satanistes ont été condamnés grâce à notre action.
Ainsi, très souvent, les satanistes sont impliqués. Par exemple, la tentative d'incendie à la cathédrale de Lavaur pour lequel l'AGRIF a porté plainte, le coupable est aussi quelqu'un qui a exprimé sa haine anti chrétienne mais il n'est pas musulman.
La plus grave profanation désormais va plus loin : elle a touché Saint-Tugdual en Bretagne, une magnifique chapelle entièrement détruite par le feu, les coupables étaient aussi un groupe de jeunes adultes satanistes. Cette fréquente composante sataniste utilisait ces profanations pour exprimer leur haine de la religion chrétienne.
LSN : Il semblerait que ces profanations sont souvent l'oeuvre de jeunes gens. Voyez vous une cause de cette haine qui se répand parmi les jeunes, la haine sataniste en particulier ?
Antony : Oui, plusieurs de mes filles qui enseignent dans des collèges me disent que dans les sacs des étudiants, `des magazines satanistes sont régulièrement trouvés. Il y a beaucoup de littérature sataniste liée au phénomène de ce qu'on appelle le Gothique ou le Black Metal ou la musique Death Metal entre autres. C'est un facteur important, et je crois que ce serait complètement injuste d'attribuer ces attaques aux musulmans - Nous ne parlons pas ici du terrorisme islamique qui est vraiment très important. Je ne crois pas que dans le cas des attaques contre des églises, ils soient une composante majoritaire.
LSN : vous évitez d'employer le terme de "christianophobie", pourquoi ?
Antony : Je ne l'utilise pas parce qu'il me rappelle trop l'Union Soviétique. Après ces campagnes d'extermination, après avoir crée le Goulag, l'URSS a "adouci" son approche d'une certaine manière - si l'on peut utiliser ce mot - et a crée des hôpitaux psychiatriques. Si vous aviez de la "léninophobie" ou de "communistophobie" ou de la "soviétophobie", vous pouvez être envoyés en hôpital psychiatrique. Pourquoi ? Parce qu'une phobie est une maladie mentale. Par conséquent, je préfère utiliser le terme de "haine anti-chrétienne" tout en ne cherchant pas querelle avec nos amis qui utilisent le terme de "christianophobie".
Je suis très circonspect quant au traitement psychiatrique de cette introduction du traitement de la psychiatrie en polique parce que c'est fortement en lien avec la menace de totalitarisme. Nous avons vu cela avec les Soviets et nous pouvons le voir aussi avec le néo-totalitarisme qui progresse constamment aujourd'hui.
LifeSiteNews : d'après vos connaissances, pouvez vous confirmer qu'il y a d'autres coupables de ces actes anti-chrétiens ?
Bernard Antony : Oui, ils ne sont pas toujours musulmans et je ne peux pas dire qu'une majorité de ces actes sont commis par des musulmans. Nombre de ces profanations sont commises par des musulmans mais le fait le plus récent qui me vient à l'esprit est l'extraordinairement importante profanation du cimetière de Terre-Cabade à Toulouse : il semblerait encore une fois que nous n'avons pas affaire à des musulmans et comme par hasard, la destruction s'est produite juste après la Gay Pride de Toulouse. La destruction précédente qui a fait l'objet d'arrestations de coupables et qui a vu l'implication de l'AGRIF, de jeunes satanistes ont été condamnés grâce à notre action.
Ainsi, très souvent, les satanistes sont impliqués. Par exemple, la tentative d'incendie à la cathédrale de Lavaur pour lequel l'AGRIF a porté plainte, le coupable est aussi quelqu'un qui a exprimé sa haine anti chrétienne mais il n'est pas musulman.
La plus grave profanation désormais va plus loin : elle a touché Saint-Tugdual en Bretagne, une magnifique chapelle entièrement détruite par le feu, les coupables étaient aussi un groupe de jeunes adultes satanistes. Cette fréquente composante sataniste utilisait ces profanations pour exprimer leur haine de la religion chrétienne.
LSN : Il semblerait que ces profanations sont souvent l'oeuvre de jeunes gens. Voyez vous une cause de cette haine qui se répand parmi les jeunes, la haine sataniste en particulier ?
Antony : Oui, plusieurs de mes filles qui enseignent dans des collèges me disent que dans les sacs des étudiants, `des magazines satanistes sont régulièrement trouvés. Il y a beaucoup de littérature sataniste liée au phénomène de ce qu'on appelle le Gothique ou le Black Metal ou la musique Death Metal entre autres. C'est un facteur important, et je crois que ce serait complètement injuste d'attribuer ces attaques aux musulmans - Nous ne parlons pas ici du terrorisme islamique qui est vraiment très important. Je ne crois pas que dans le cas des attaques contre des églises, ils soient une composante majoritaire.
LSN : vous évitez d'employer le terme de "christianophobie", pourquoi ?
Antony : Je ne l'utilise pas parce qu'il me rappelle trop l'Union Soviétique. Après ces campagnes d'extermination, après avoir crée le Goulag, l'URSS a "adouci" son approche d'une certaine manière - si l'on peut utiliser ce mot - et a crée des hôpitaux psychiatriques. Si vous aviez de la "léninophobie" ou de "communistophobie" ou de la "soviétophobie", vous pouvez être envoyés en hôpital psychiatrique. Pourquoi ? Parce qu'une phobie est une maladie mentale. Par conséquent, je préfère utiliser le terme de "haine anti-chrétienne" tout en ne cherchant pas querelle avec nos amis qui utilisent le terme de "christianophobie".
Je suis très circonspect quant au traitement psychiatrique de cette introduction du traitement de la psychiatrie en polique parce que c'est fortement en lien avec la menace de totalitarisme. Nous avons vu cela avec les Soviets et nous pouvons le voir aussi avec le néo-totalitarisme qui progresse constamment aujourd'hui.
Article source : https://www.lifesitenews.com/news/its-satanists-not-muslims-who-are-destroying-catholic-churches-in-france