samedi 30 janvier 2021

Avortement en France : de la criminalisation au dogme maçonnique


Jusqu'aux années 1970, l'avortement était strictement limité en France. Même influencée par le libéralisme et la franc-maçonnerie depuis la Révolution de 1789, la France était restée un pays conservateur lorsque a surgi la révolution culturelle connue sous le nom de « évènements de mai 1968. » L'avortement est devenue légale lorsque la France passait d'une société majoritairement conservatrice et catholique à une société libérale, l'un des plus sécularisés au monde.

L'Église catholique s'opposait à l'avortement, le contrôle des naissances et la contraception. D'un autre côté, le Parti communiste qui était alors puissant, considérait l'avortement et le contrôle des naissances comme des pratiques bourgeoises décadentes promues pour affaiblir la classe ouvrière. Le leader du Parti communiste dans les années 1950, Maurice Thorez, considérait le contrôle des naissances comme néo-malthusien et sa femme, Jeannette Vermeesch, affirmait que c'était « une arme dans les mains de la bourgeoisie contre les lois sociales. »


Thorez a écrit : 


«Au lieu de vous inspirer des idéologies de la grande et petite bourgeoisie, écrivait Thorez, vous auriez mieux fait de méditer l'article que Lénine a consacré au néomalthusianisme... Le chemin de la libération de la femme passe par les réformes sociales, la révolution sociale et non par les cliniques d'avortement.» 


Ainsi, les catholiques comme les communistes considéraient l'avortement comme criminel, pour des raisons différentes cependant. Les deux factions représentaient une majorité écrasante de la population, en particulier dans la classe ouvrière et la paysannerie. C'est probablement pourquoi elles ont été finalement attaquées puis se sont effondrées peu après la révolution culturelle trotskiste de 1968. Le concile de Vatican II est aussi une raison majeure de l'effondrement de l'Église catholique. Le libéralisme est devenue le courant principal après 1968 en particulier parmi la jeune génération. Par conséquent, la légalisation de l'avortement en 1975 est considérée par beaucoup comme « une pierre angulaire du droit des femmes et de la sécularisation en France. »


Simone Veil (1927/2017), ministre de la Santé (1974-1979). Elle a réussi à ce que la loi portant son nom soit adoptée en dépit de l'hostilité de nombreux députés, ce qui a légalisé l'avortement. Elle est devenue une icône pour les libéraux. 


L'avortement était autrefois considéré comme un crime et sévèrement puni. Ceux qui étaient coupables de faire l'apologie ou de pratiquer l'avortement risquent la peine de mort. Pendant la Révolution française, les peines sont devenues moins sévères mais les gens coupables d'avoir pratiqué un avortement étaient condamnés à de longues années de prison. Pendant le régime de Pétain, la peine de mort à été restaurée pour de tels crimes et une femme, Marie-Louise Giraud qui avait pratiqué plusieurs avortements clandestins a été condamnée à mort et exécutée en 1943. Elle a été la dernière femme à être condamnée à mort en France. A partir de l'Après-guerre et jusqu'au début des années 1970, des groupes de pression ont été mis en place pour encourager petit à petit des idées libérales concernant l'avortement et le contrôle des naissances.

En 1956, une association appelée La maternité heureuse a été créée par deux médecins, Pierre Simon et Marie-Andrée Lagroua Weill-Hallé. Ils ont fait la promotion du contrôle des naissances et de la contraception malgré le fait que cela avait été interdit par une loi de 1920. Ils se sont inspiré de la tristement célèbre eugéniste américaine, Margaret Sanger. La maternité heureuse s'est affiliée à l'IPPF (International Planned Parenthood Federation – fédération internationale de la parentalité planifiée) et a finalement choisi le nom de Planning familial. Ils ont importé des contraceptifs de l'étranger et les ont prescrites à des femmes. Mais ils n'ont alors pas fait la promotion de l'avortement sinon pour des cas exceptionnels. 

En 1967, leurs activités ont cessé d'être illégales puisque la Loi Neuwirth permettait aux femmes d'obtenir librement des contraceptifs. La loi porte le nom du ministre de la Santé de l'époque, Lucien Neuwirth. La maternité heureuse avait déjà changé son nom pour Le mouvement français pour le planning familial en 1960.


Pierre Simon (1925/2008) Il existe peu d'images de lui sur internet. C'est une autre preuve que Simon est vraiment une figure de l'ombre. lien

Pierre Simon et la franc-maçonnerie

Le fait que la franc-maçonnerie ait été derrière la création de La maternité heureuse et de la Loi Neuwirth n'est pas surprenant. Pierre Simon était une figure majeure de la franc-maçonnerie française. Il était devenu grand maître de la Grande Loge de France. Contrairement à Simone Veil, Pierre Simon était une figure de l'ombre mais son rôle a été essentiel dans l'application de la Loi Veil qui a légalisé l'avortement en 1975. Né dans une famille de la grande bourgeoisie juive, Pierre Simon est devenu gynécologue et dans les années 1960, il a fait la promotion de l'utilisation du DIU (dispositif intra-utérin), un outil contraceptif qu'il comparait à «Une sorte de crosse d'évêque finissant en grains de chapelet.» 


"Simon avait popularisé le terme de « stérilet » en France se référant au DIU. L'origine de ce mot est vite trouvé et d'ailleurs, Simon était aussi un eugéniste. Dans cet article de 2014, on dit qu'il avait suggéré de « s'assurer que le matériel ne se dégrade pas » - comprendre « matériel humain » - et d'éviter « la prolifération de tares héréditaires. » "


Simon était l'un des 330 médecins qui avait affirmé avoir pratiqué des avortements clandestins dans une pétition parue dans Le Nouvel Observateur en 1973. Il a publié une étude portant sur la sexualité des Français, le Rapport Simon, un équivalent français du rapport Kinsey, de triste mémoire. Il a aussi rédigé le projet de loi qui plus tard sera adopté au parlement sous le nom de Loi Veil qui a autorisé l'avortement pour une période de cinq ans. Puis, une fois l'avortement légalisé, Simon a commencé à faire la promotion de l'euthanasie, un autre plan à long terme de la franc-maçonnerie qui est toujours en cours aujourd'hui.

Les pilules maçonniques 

Il est surprenant de trouver facilement des liens faisant ouvertement la connexion entre la franc-maçonnerie et les lois soi-disant « progressistes. » Un article publié en 2017 dans le blog « La lumière » qui est un blog interne de l'Express, porte le titre dénué d’ambiguïté : « La GLDF fête 50 ans de pilules maçonniques » dans lequel le rôle de la franc-maçonnerie et de Pierre Simon dans le processus menant à la loi Neuwirth est expliqué. 

Dans un autre article publié en 2013, La lumière affirme que Simon et Neuwirth étaient amis, et que la loi Neuwirth était un plan maçonnique soutenu par la Grande loge de France. En 2016, le Grand Orient de France, l'obédience maçonnique la plus importante de France, a remis à Simone Veil une statue de Marianne. Lors de ce moment, ils se sont rappelé que l'avortement est « le pilier de la société voulue par les francs-maçons. » 

Pour que leur plan réussisse et pour que les projets de loi qu'ils rédigeaient eux-mêmes soient votés, les francs-maçons apprécient comme d'habitude de l'aide importante d'idiots utiles : les trotskistes et les activistes de gauche.



Le Groupe information santé et les activistes féministes 

Faisant petit à petit son chemin dans la société française depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la soi-disante contre-culture et les idées libérales ont jailli pendant le mouvement de mai 1968. En parallèle des demandes de la classe ouvrière en matière de salaire et de conditions de travail, le mouvement étudiant a été le tout début d'un changement de style de vie en France, en particulier pour les femmes. Il était basé sur l'égalité, la libération sexuelle et la liberté de choix. Il était de façon évidente inspiré par le marxisme culturel et l'École de Francfort. D'ailleurs, le mouvement ouvrier était indifférent, si ce n'est hostile, à la campagne trotskiste bourgeoise pour « l'émancipation. »

A la suite des événements de 1968, beaucoup d'organisations ont surgi et ont prôné la libération sexuelle. L'une des plus célèbres était le Mouvement de libération de la femme (MLF), créée en 1970. Elle faisait ouvertement campagne pour l'avortement libre et d'autres organisations, tel le Mouvement de libération de l'avortement, ont suivi. 

Les 343 salopes

Le « manifeste des 343 » - appelé ainsi car 343 femmes, dont des femmes célèbres comme l'actrice Catherine Deneuve, ont affirmé avoir eu un avortement -, écrit par la célèbre penseuse féministe Simone de Beauvoir, a été publié dans Le Nouvel Observateur en 1971. Le manifeste affirmait qu'un million de femmes avait déjà eu un avortement dans des conditions hasardeuses et demandé qu'il soit libre, légal et sûr. Le magazine Charlie Hebdo rendit le manifeste célèbre sous le nom de « 343 salopes », une sorte de plaisanterie pour montrer un sentiment de solidarité et d'amitié et pour se moquer des gens réactionnaires qui accusait de tels femmes d'être immorales. Être une salope était devenu quelque chose dont pouvait être fier une femme « libre » à une époque où les valeurs avaient été déjà renversées.

Le procès de Bobigny

En 1972, cinq femmes ont été mises en examen et jugées à Bobigny près de Paris. L'une d'entre elle avait eu un avortement après avoir été violée et les quatre autres, dont sa mère, étaient poursuivies pour avoir pratiqué un avortement ou en être complice. Elles étaient défendues par l'avocate féministe, Gisèle Halimi. L'histoire a été largement couverte par les médias et avait eu un grand impact sur le public. Cela a ouvert la voie vers la légalisation. 

La « méthode Karman »

En août 1972, l'appartement de Delphine Seyrig, une actrice, fut le théâtre d'une expérience. Des activistes de gauche y ont pratiqué un avortement sur une jeune femme avec l'aide d'Harvey Karman, un militant et psychologue californien qui avait inventé une façon « bon marché et plus simple » de faire des avortements. Elle est devenue connue sous le nom de « méthode Karman » et est devenue couramment utilisée dans les cliniques d'avortement.

Le groupe informel, le « Groupe information santé », un groupe de médecins et d'étudiants fondé en 1972 après une rencontre avec le philosophe Michel Foucault, avait organisé l'expérience. Les figures de proue étaient Pierre Jouanet et René Frydman. Tous deux sont des biologistes et s'occupent de fertilité humaine. Tous deux sont devenus des figures récurrentes dans les médias français et le sont toujours. Jouanet est un ancien marxiste-léniniste. Frydman est devenu par la suite célèbre pour son rôle dans la naissance du premier bébé éprouvette français en 1983 et est popularisé par les médias. Il anime actuellement une émission sur France Culture. Dans l'une d'entre elles, il fait l'éloge des réalisations de Pierre Simon.


hommage rendu à Simone Veil après son décès au Panthéon en 2017 

La légalisation 

Née dans une famille juive, Simone Veil a été déportée avec ses parents et ses frère et sœurs au camp de Bergen Belsen pendant la Seconde Guerre Mondiale. Elle a réussi à rentrer chez elle avec ses sœurs mais ses parents et son frère avaient péri dans le camp nazi. Après avoir été diplômée en droit et avoir suivi une longue carrière en tant que haut fonctionnaire, le Premier ministre Jacques Chirac l'a choisi pour être son ministre de la Santé après que Valéry Giscard d'Estaing soit devenu président en 1974. Sa réalisation la plus notable a été le vote pour légaliser l'avortement en janvier 1975. Le destin tragique de sa famille, son origine juive et le fait qu'elle avait été insultée pendant les débats sur le projet de loi sur l'avortement en a fait une sorte d'icône pour le camp libéral. Après sa mort en 2017, elle a été ensevelie au Panthéon, le monument républicain dans lequel reposent des gens célèbre comme Voltaire ou Victor Hugo. Peu de gens savent que Pierre Simon et la franc-maçonnerie ont été plus cruciaux qu'elle dans la normalisation de l'avortement.

Conséquences

Simone Veil avait affirmé que l'avortement devait être restreinte aux « situations de détresse » mais en réalité, le nombre d'avortements fut, dès le tout début (1976) et – à l'exception du milieu des années 90 – très élevé et est resté stable (plus de 200.000 par an) jusqu'à aujourd'hui. Il semble que l'avortement, loin d'être réservé aux « situations de détresse », soit devenu banal. 9,6 millions d'avortements ont été pratiqués depuis 1976. De plus, le terme d' « avortement » a été remplacé par IVG, pour « interruption volontaire de grossesse », probablement pour le rendre plus acceptable. La clause de « situation de détresse » a disparu de la loi en 1979 et toute sorte de critique, réduite petit à petit au silence.


Xavier Dor (1929/2020) sans doute l'activiste anti-avortement le plus célèbre de France

L'élargissement des droits et le musellement de l'opposition

Dans les années 1970, à la suite du Concile Vatican II (1962-1965) et la mise en place de la messe Novo Ordo en 1969, nombreux sont ceux qui ont quitté l'Église en particulier dans la jeune génération. Nombre d'entre eux sont devenus agnostiques mais certains ont rejoint la FSPPX. Le catholicisme traditionnel a été et est encore le mouvement religieux le plus impliqué dans l'opposition à l'avortement en France. 

La position officielle était bien sûr celle d'une opposition claire à la légalisation de l'avortement mais la minorité qui a suivi Mgr Lefebvre était bien plus active. L'embryologiste catholique Xavier Dor a été l'une de ces figures connues du mouvement anti-avortement. Jusqu'à la fin de sa vie, il a essayé sans relâche d'empêcher des avortements dans les hôpitaux. La loi Neiertz (1993) a criminalisé l'avortement et Dor a fait face à plusieurs procédures criminelles.Désormais, l'activisme anti-avortement inclus surtout des défilés et des sites internet. De nombreux sites donnent des conseils et des mises en garde sur l'avortement mais une loi de 2017 permet la surveillance et même l'interdiction de tels sites.

L'avortement – Une « nouvelle normalité » en France ?

Quelques dates clé :

1979 : la loi Veil est prolongée (après une période test de cinq ans)

1980 : Fin de la « clause de détresse »

1982 : les frais pour un avortement sont pris en charge par la Sécurité Sociale

1993 : bloquer le processus d'avortement est désormais un crime

2001 : le délai pour avorter est désormais porté à 12 semaines de grossesse

2004 : les pilules abortives sont désormais autorisées

2017 : une loi permet la surveillance de sites internet anti-avortement

Désormais, l'avortement est devenu une « nouvelle normalité » dans la société française et qui est difficile à contester. Quiconque proteste contre cela peut faire face à la ridiculisation et l'attitude anti-avortement est considérée comme fasciste. L'intimidation est telle qu'il est difficile de savoir si l'avortement est réellement considéré comme normal et allant de soi dans la population française. Par voie de conséquence, l'avortement a atteint une position iconique et sacré dans les médias et par les politiques. C'est considéré comme « progressiste. »

Dans les cercles maçonniques, libéraux et de gauche, l'avortement est considéré comme un sujet fondamental. Dans le site maçonnique Hiram.be, 277 articles sont consacrés à ce sujet.

Selon l'ancien franc-maçon, Serge Abad-Gallardo, qui s'est converti au catholicisme et a publié plusieurs livres, les francs-maçons ne rendent compte qu'à eux-mêmes, font leurs propres choix sans considération de la loi naturelle, recherchent le bonheur et les plaisirs sur terre comme si la vie éternelle n'existait pas, selon leurs principes.  

« Des lois telles que l'avortement, l'euthanasie ou le mariage homosexuel s'accordent aux idées maçonniques d'émancipation de l'individu qui s'en remet qu'à lui-même, avec aucune limitation morale sinon celles qui l'a établi pour lui-même. » Serge Abad-Gallardo

Pour les catholiques, l'avortement est le crime ultime. Pour la franc-maçonnerie, c'était le but ultime à atteindre. L'eugénisme, le contrôle et la réduction de la population mondiale est un but obsessionnel à atteindre pour l'élite mondiale. Loin d'être progressiste, l'avortement est une arme contre l'humanité. Les francs-maçons et l'élite mondiale veulent contrôler chaque aspect de la vie et de la mort.






vendredi 22 janvier 2021

Abortion in France : from criminalization to Freemason dogma

"abortion guaranteed for all" - "My body = my decision." demonstration for easier requirements for termination procedure, France, 2014. Link

Up to the 1970's, abortion was strictly restricted in France. Even influenced and infiltrated by Liberalism and Freemasonry since the 1789 Revolution, France had remained a conservative nation when the cultural revolution known as "the may 1968 events" broke up. Abortion became legal when France was shifting from a conservative and predominantly Catholic society to a Liberal country, one of the most secularized of the world.

The Catholic Church stood against abortion, birth control and contraception. On the other side, the Communist party which was powerful then, considered abortion and birth control as bourgeois decadent practices promoted to weaken the working class. The leader of the Communist Party in the 1950's, Maurice Thorez, considered birth control as Neo-Malthusian and his wife, Jeannette Vermeesch claimed it was a "weapon in the hands of the bourgeoisie against social laws"

Thorez wrote

"Instead of being inspired by the idéologies of the upper class and petty bourgeoisie, you would have done better to consider the article Lenin dedicated to Neomalthusianism... The road to Women's liberation passes through social reform, the social révolution and not through abortion clinics."

So, both Catholics and Communists considered abortion as criminal, though for different reasons. Both factions represented an overwhelming majority of the population, especially the working class and the peasantry. This is probably why they eventually were under attack and then collapsed soon after the 1968 Trotskyist cultural revolution. The Vatican II council is also a major reason for the collapse of the Catholic Church.  Liberalism became the main trend in France after 1968 especially among the young generation. As a matter of fact, the legalisation of abortion in 1975 is considered by many as "a cornerstone of women's right and secularism in France".



Simone Veil (1927/2017), Minister for Health (1974-1979). She managed to have the law bearing her name voted despite the hostility of many deputies, which made abortion legal. She became an icon for the Liberals. 


Abortion was formerly considered as a crime and severely punished. People guilty of praising or practicing abortion faced death penalty. During the French Revolution, punishment became less severe but people guilty of having carried out abortions were sentenced long years in jail. During the Pétain regime, death penalty was restored for such crimes and a woman, Marie-Louise Giraud who had carried out several clandestine abortions during the Pétain regime was sentenced to death and executed in 1943. She was the last woman to be sentenced to death in France. From the post-war years up to the early 1970's, pressure groups were organised to gradually push Liberal views regarding abortion and birth control.

In 1956, an organization called La maternité heureuse (happy motherhood), was established by two doctors, Pierre Simon and Marie-Andrée Lagroua Weill-Hallé. They promoted birth-control and contraception despite the fact that it had been banned by a 1920 law. They were inspired by the infamous American eugenist Margaret Sanger.  La maternité heureuse became affiliated to the IPPF (International Planned Parenthood Federation) and eventually choose the name Planning Familial. They imported contraceptives from abroad and delivered them to women. But they didn't promote abortion then, except for exceptional instances.

In 1967, their activities ceased to be illegal as the Neuwirth Law allowed women to get contraceptives freely. The law bears the name of the then Minister for Health, Lucien Neuwirth. La maternité heureuse had already changed its name for the Mouvement français pour le planning familial (French movement for family planning) in 1960.


Pierre Simon (1925/2008). Few pictures of him are to be found on the internet. Another proof that Simon is indeed a shadowy figure. Link

Pierre Simon and Freemasonry

The fact that Freemasonry was behind the creation of the Maternité heureuse and the Neuwirth Law is unsurprising. Pierre Simon was a major figure of the French Freemasonry. He became great master of the Grand Lodge of France. Unlike Simone Veil, Pierre Simon was a shadowy figure but his role was instrumental in the implementation of the so-called "Loi Veil" making abortion legal in 1975. Born in a Jewish upper class family, Pierre Simon became a gynaecologist and in the 1960's, he promoted the use of the IUD, a contraceptive device he compared to a kind of bishop's crosier ending in rosary beads. 

Simon popularized the name stérilet in France referring to the IUD. It's not necessary to have knowledge in French to trace back the origin of this word. As a matter of fact, Simon was also a eugenist. In this 2014 article, he is said to have suggested to "make sure that the material doesn't degrade itself" - 'material' here means 'human stock' - and avoid the "proliferation of hereditary defects."


Simon was one of the 330 doctors who claimed having carried out clandestine abortions in a petition published in the Leftist news magazine Le Nouvel Observateur in 1973. He released a study dealing with the sexuality of the French people, the Rapport Simon (Simon report), a French equivalent of the infamous Kinsey Report. He also wrote the draft of the bill which became later voted at the Parliament under the name of the Loi Veil (Veil Law) allowing free abortion for a 5 year period. Then, after the legalization of abortion, Simon started to promote euthanasia, another long term Masonic plan which is still in progress today. 


Masonic pills

It is surprisingly easy to find links making blatantly the connection between Freemasonry and the so-called 'progressive' laws. An article published in 2017 in the Freemason blog La Lumière (the light) included in the Liberal magazine L'Express, bearing an unambiguously title : " La GLDF fête 50 ans de pilules maçonniques" (the GLDF - Grand Lodge of France - celebrates 50 years of Masonic pills) in which Freemasonry and Pierre Simon's role in the process leading to the Neuwirth law is explained. 

In another article published in 2013, La Lumière states that Simon and Neuwirth were friends, that the Neuwirth law was a Masonic plan supported by the Grand Lodge of France. 

In 2016, Simone Veil was awarded a Marianne (a kind of goddess symbolising the French Republic) statue by the Grand Orient de France, the most important obedience of the French Masonry. At this moment, they recalled that abortion is "the pillar of the society wanted by Freemasonry".

To have their plan to succeed and the bills they wrote themselves to be voted, the Freemasons enjoys as usual the great help of useful idiots : the Trotskyist and Leftist activists. 



The Groupe information santé (group information health) and the feminist movements


Making its way gradually in the French society since the end of WW2, the so-called Counterculture and Liberal ideas burst out during the may 1968 movement. Alongside working class demands on salary increase and better work conditions, the student movement was the very beginning of lifestyle change in France, especially for women. It was based on 'equality', sexual liberation and freedom of choice. It was obviously inspired by Cultural Marxism and the Frankfurt School. As a matter of fact, the working class movement was indifferent if not hostile, to the bourgeois Trotskyst campaign for 'emancipation.'

In the aftermaths of the 1968 events, many organizations erupted and advocated sexual liberation. One of the most famous was the Mouvement de libération de la femme (movement for women's liberation - MLF) created in 1970. They openly campaigned for free abortion and other organizations, such as the Mouvement de libération de l'avortement (Movement for Liberation of Abortion), followed.

The 343 sluts

The "manifesto of the 343" - named after 343 women, including famous ones such as the actress Catherine Deneuve, claimed having undergone an abortion -, written by the famous feminist thinker Simone de Beauvoir, was published in Le Nouvel Observateur in 1971. The manifesto stated that one million women had already had an abortion in hazardous conditions and wanted it to be free, legal and safe. The magazine Charlie Hebdo made it known under the name of the 343 salopes (343 sluts) a kind a joke to show a feeling of solidarity and frienship and mock the reactionnary people who accused such women to be immoral. Being a slut had become something to be proud of for a 'free' woman in a time where values had been already turned upside down.

The Bobigny trial

In 1972, five women were prosecuted and brought to a trial in Bobigny, near Paris. One had undergone an abortion after having being raped and the four others, including her mother, were prosecuted for having carried out and abortion or being accomplice of it. They were defended by a feminist barrister, Gisèle Halimi. The story gained a large coverage in the medias and had a great impact on the public. It paved the way towards the legalisation.

The 'Karman method'

In august 1972, an experiment took place in Delphine Seyrig's flat. Seyrig was a famous actress. Leftist activists carried out there an abortion on a young woman with the help of Harvey Karman, a Californian militant and psychologist who had invented a 'cheap and simpler' way to perform abortions. It became known as the 'Karman method' and became widely used in abortion clinics.

This experiment was organised by an informal group called the Groupe information santé, a group of doctors and students founded in 1972 after a meeting with the philosopher Michel Foucault. The prominent figures were Pierre Jouannet, and René Frydman. Both Jouannet and Frydman are biologists and deal with human fertility. Both became recurring figures in the French media and still are today. Jouannet was a former Marxist-Leninist. Frydman became later famous for its role in the birth of the first French test-tube baby in 1983 and is popularised by the media. He currently hosts a program on the state-owned radio France Culture. In one of them, he praised Pierre Simon's achievements. 

Tribute paid to Simone Veil after her death in 2017 at the Panthéon monument in Paris.


Legalization

Born in a Jewish family, Simone Veil was deported with her parents and siblings to Bergen Belsen during WW2. She managed to come back home alive with her sisters but her parents and her brother had perished in the Nazi camp. After having graduated in laws and following a long career as a senior civil servant, the Prime Minister Jacques Chirac choose her to be his Minister for Health after Valéry Giscard d'Estaing being elected as president in 1974. Her most notable achievement then was the vote to legalise abortion in January 1975. The tragic fate of her family, her Jewish background, and the fact that she was verbally abused during the debates over the abortion bill made her a kind of icon for the Liberal camp. After her death in 2017, she was buried in the Panthéon, the Republican monument in which many famous people such as Voltaire or Victor Hugo rest.  Few people know that Pierre Simon and Freemasonry were more instrumental in the normalisation of abortion in France than she was.  

Consequences

Simone Veil had claimed that abortion should be restricted to "situation of distress" but, as a matter of facts, the numbers of abortions were, from the very beginning (1976) and - except for the mid 1990's -  very high and remained stable (over 200,000 a year) until now. It seems that abortion, far from being restricted to "situations of distress", became  something commonplace. 9,6 millions of abortions has been carried out since 1976. Moreover, the term 'abortion' was replaced by "IVG" like interruption volontaire de grossesse - Voluntary interruption of pregnancy, probably to make it more acceptable. The "situation of distress" stance disappeared in 1979 from the law and all kind of criticism, gradually silenced. 


Xavier Dor (1929/2020) maybe the most famous anti abortion activist in France


Expanding rights and silencing the opposition 

In the 1970's, in the aftermaths of the Vatican 2 council (1962-1965) and the implementation of the Novo Ordo mass in 1969, many people in France left the Church especially the young generation. Many of them became agnostic but some joined the Society of Pius X. Traditional Catholicism was and still is the most committed religious movement in challenging abortion in France.

The official position of the Catholic Church in France was of course a clear opposition to the legalization of abortion but the minority of the traditionnal Catholics following Mgr Lefebvre were the most active. The Catholic embryologist, Xavier Dor (1929/2020) was one of the most famous figure of the anti-abortion movement. Up to the end of his life, he endlessly tried to prevent abortion in clinics. As a matter of fact, the Parliament passed a law preventing actions in clinics. The Neiertz law (1993) made obstruction to abortion a crime and Dor faced several criminal prosecutions. 

Now, anti-abortion activism involves mostly marches and websites. Many websites give advices and warnings about abortion but a 2017 law allows supervision and even ban of such websites. 

Abortion - A 'new normal' in France?

Few key dates :

1979 : The Veil Law is extended (after a 5 year test time)
1980 : End of the 'distress provision'
1982 : the abortion expenses are covered by the state health insurance 
1993 : blocking abortion process is now an offense
2001 : abortion delay is extended up to 12 weeks old pregnancies
2004 : abortion pills are authorized
2017 : a law allows the supervision of anti-abortion websites


Nowadays, abortion has become a "new normal" in French society and is difficult to challenge. Anyone protesting against it can face ridicule and anti abortion attitude is considered as 'fascist'. The intimidation is such that it's difficult to know if abortion is actually considered as actually normal and trivial in the French population. As a matter of fact, abortion has reached an iconic and sacred position for the media and the politicians. It is considered as 'progressive'. 

In the Masonic, Liberal and Leftist circles, abortion is considered as a core issue. In the Masonic website, hiram.be, 277 articles are dedicated to this subject. 

According to the former Freemason, Serge Abad-Gallardo, who has converted to Catholicism and published several books, Freemasons only refer to themselves, make their own choices regardless the natural law, seek for happiness and pleasures on Earth as if eternal life wouldn't exist, according to their creed. 

"Laws such as abortion, euthanasia or gay marriage fits masonic ideas of emancipation of the individual who refers only to himself, with any other moral limitation than those he sets for himself." 

Serge Abad-Gallardo

 
For the Catholics, abortion is the ultimate crime. For Freemasonry, it was the ultimate goal to reach. Eugenics, controlling and downsizing the Global population is an obsessive aim to achieve for the Global elite. Far from being progressive, abortion is a weapon against humanity. Freemasons and the Global elite want to control every aspect of life and death. 

 

mercredi 13 janvier 2021

Italiagate 2e partie : Obama et Renzi accusés d'être les cerveaux de la fraude électorale américaine

 

Matteo Renzi avec Barack Obama


Première partie ici


Par Cesare Sacchetti

Le dernier article publié précédemment sur ce blog a révélé la participation de l'Italie dans la fraude électorale exécutée contre les élections américaines.

Un ex-agent de la CIA et anciennement chef d'une des stations de l'agence de renseignement, Bradley Johnson, a expliqué comment l'Italie a eu un rôle déterminant dans ce qu'on pourrait définir à tous les niveaux comme un coup d'État international contre Donald Trump. 

L'acteur principal de cette fraude serait Leonardo, la société gouvernementale leader dans le secteur de la diffusion et des technologies aérospatiales.

Désormais, c'est une autre personne qui a complètement confirmé le rôle de l'Italie dans tout cela et il s'agit de Maria Zack. 

Maria Zack est la présidente de l'association « Nazioni in azione » (Nations en action – NdlT) et dans un document audio qui a fuité il y a deux jours sur Twitter, elle a expliqué exactement comment serait survenu l'attaque pirate. 

Selon Zack, le centre qui aurait coordonné cette opération serait effectivement l'ambassade américaine à Rome. 

Cette version des faits coïncide complètement avec celle fournie par Johnson, mais l'activiste américaine fournit ultérieurement des détails tout simplement fondamentaux. 

Le général Claudio Graziano aurait coordonné le plan du second plan de l'ambassade Via Veneto, assisté à son tour par un ex-agent des services secrets, Stefano Serafini. 

Le général Graziano est un personnage d'une importance absolue dans cette histoire. Graziano a déjà occupé le rôle de Chef d'état major sous les gouvernements Renzi et Gentiloni et est actuellement président du comité militaire de l'Union européenne.

Le général est un fervent soutien de la création de l'armée unique européenne et l'une de ses plus récentes interventions a clairement affirmé qu'il ne peut pas y avoir d'autre réalité que l'UE et l'OTAN. 

Pourtant, Graziano peut être considéré à tous les nivaux comme un membre du soi-disant bloc euro-atlantique, qui s'est fondé pendant des décennies sur le principe de l'interventionnisme militaire de Washington dans chaque partie du monde. 

Ce n'est certainement pas un secret que le lobby militaire, auquel Graziano appartient certainement, a fortement soutenu cette doctrine voyant Donald Trump comme un ennemi absolu à cause de sa volonté de ne pas violer la souveraineté des autres états par des interventions armées.

De toute manière, pour coordonner auparavant l'attaque informatique, le haut gradé se serait servi de la technologie de Leonardo. 

Comme il l'a été déjà révélé par Bradley Johnson et confirmé par Maria Zack, « un satellite de Leonardo a été utilisé pour télécharger un logiciel et déplacer les votes de Trump à Biden". 

Dans un premier temps, le plan prévoyait que le déplacement des votes de Trump à Biden n'aurait pas lieu à Rome, mais plutôt à Francfort, dans une station de la CIA qui abrite les serveurs de Dominion. 

Apparemment, tout était prévu pour le mieux jusqu'à ce que les hackers à Francfort se soient rendu compte que l'opération allait en quelque sorte être recalibrée à travers la création de nouveaux algorithmes. 

Trump était en train de prendre trop de votes et il a fallu faire des modifications au logiciel pour remettre la « victoire » à Biden. 

Et c'est là que l'Italie entre en jeu. Les votes auraient été envoyés à un satellite militaire de Leonardo vers les États-Unis, et ensuite téléchargés de nouveau dans les serveurs de Dominion. 

A ce sujet, on aurait la confirmation décisive de l'un des protagonistes de l'opération, à savoir Arturo D'Elia, anciennement consultant à Leonardo. 

D'Elia, dans un témoignage sous serment, aurait de fait admis sa participation à ce crime informatique.

L'ex-consultant de Leonardo aurait effectivement confirmé que les votes auraient été déplacés de Trump à Biden par l'intermédiaire « d'un satellite militaire de la tour de Fucino. »

D'Elia, dans sa déclaration sous serment, aurait soutenu d'avoir agi «sous la conduite et la direction de citoyens américains en garnison à l'ambassade américaine à Rome. » 

Actuellement, Arturo D'Ellia est en état d'arrestation et est accusé d'autres crimes informatiques commis contre la même entreprise Leonardo. 

De toute façon, il semble plutôt improbable que tout cela puisse avoir eu lieu sans que l'ambassadeur américain à Rome, Lewis Eisenberg, ne sache ce qui se passait dans l'ambassade même. 

Eisenberg a été nommé par Trump en 2017 et est également l'un des contributeurs de sa première campagne présidentielle, mais, en même temps, il est aussi très proche du lobby néoconservateur sioniste qui s'oppose férocement au plan de désengagement militaire de Trump. 

Le plan politique de l'opération : Renzi et Obama

Ce qui est décrit jusqu'à aujourd'hui, c'est le niveau militaire et du renseignement de l'attaque informatique, exécuté par des éléments infidèles et subversifs des institutions italiennes et américaines, mais ce que révèle Maria Zack ensuite, c'est, si c'est possible, encore plus retentissant.

Les cerveaux politiques du plan seraient Barack Obama, ex-président des États-Unis, aidé par son « homologue » italien, Matteo Renzi, ancien premier ministre italien de 2014 à 2016. 

La présidente de « Nazioni in azione » soutient que lorsque cela est arrivé, c'était vraiment « un plan brillant orchestré par Obama avec l'aide de Renzi. » 

A ce stade, la relation entre Renzi et Obama semble simplement fondamentale pour comprendre la première tentative de coup d'État contre Trump, le Spygate, tout comme la seconde tentative en cours contre le président américain, c'est à dire la fraude électorale. 

La dernière déclassification des documents de la CIA a confirmé que Barack Obama était déjà parfaitement conscient en septembre 2016 de la tentative de piéger celui qui était alors candidat républicain, Trump. 

L'ex-directeur de la CIA, John Brennan, avait alors déjà mis au courant le président Obama que Hillary Clinton était déjà à l'œuvre pour fabriquer un faux scandale afin de dépeindre Trump comme une «marionnette russe. » 

Les institutions américaines, parmi lesquelles le FBI et les agences de renseignement, avaient eu un rôle décisif dans cette opération car elles avaient de fait autorisé l'espionnage illégal contre Trump. 

C'est pourquoi il n'est pas hasardeux de soutenir que le président Obama, en tant que commandant en chef des États-Unis alors et du même réseau de renseignement, puisse être considéré comme le cerveau de ce complot contre Trump. 

En même temps, le Spygate n'aurait pas été possible sans l'Italie. Quand Obama décide de donner la voie à l'opération d'espionnage illégal, il aurait pu demander de l'aide au premier ministre d'alors, Renzi.

A ce stade, le timing devient fondamental. Un mois après la rencontre entre Obama et Brennan, Matteo Renzi arrive à la Maison Blanche, en visite officielle, pour participer au plan. 

L'ancien premier ministre aurait accepté d'impliquer ses services dans l'espionnage contre Trump. 

A leur tour, les services aurait crée un plan complexe pour piéger Giulio Occhionero, un ingénieur nucléaire qui est impliqué dans la tentative d'arrimer Trump au Kremlin. 

En d'autres mots, le renseignement italien aurait cherché à mettre les emails de Clinton sur le serveur de la société américaine d'Occhionero, la Westlands Securities Inc. 

Apparemment, Occhioreno aurait été choisi parce qu'il est proche des milieux conservateurs américains qui ont soutenu la campagne de Trump. 

Le mondialisme a utilisé le deep state italien contre Trump

De toute manière, la chose la plus surprenante qui lie le scandale avec la fraude électorale, c'est la relation entre Obama et Renzi. 

Après que les deux chefs d'état ont abandonné leur fonctions respectives, ils auraient continué à travailler ensemble pour créer ce que l'on peut définir comme étant un coup d'État contre Trump. 

Il y a donc une sorte de fil rouge qui lie le Spygate à la fraude électorale américaine et ce fil rouge est l'axe entre les appareils institutionnels italiens et américains subversifs, représenté dans ce cas par Obama et Renzi. 

Une fois que ce plan subversif se serait déclenché en 2016 avec le Spygate, il ne serait pas arrêté jusqu'à novembre 2020, lorsque les deep states italien et américain allaient réaliser la fraude électorale aux États-Unis. 

En d'autres mots, le mondialisme a certainement utilisé des membres du parti démocrate américain comme Obama pour coordonner l'opération, mais l'appareil de pouvoir qui satisfait au mondialisme, infiltré lourdement dans les institutions italiennes, serait encore plus décisif. 

L'actuel premier ministre, Conte, serait parfaitement au courant car, a déclaré Zack, « il est très imprégné et impliqué » dans tout cela. 

Et si cette version doit être confirmée, il serait difficile de penser le contraire. 

En fait, Leonardo est une société gouvernementale où les 30% des actions sont dans les mains du ministère de l'Économie, présidé actuellement par Roberto Gualtieri. 

L'administrateur délégué actuel de Leonardo, Alessandro Profumo, a été nommé dans son poste actuel par Conte en avril de l'année passée qui a confirmé le choix de son prédécesseur, Gentiloni, ancien premier ministre en 2017 et apparemment impliqué également dans le Spygate. 

Selon Zack, les caisses noires pour financer tout cela auraient mises à disposition de l'Iran qui aurait transféré 400 millions de dollars à Obama pour poursuivre l'opération. 

Cette version confirme partiellement le rôle joué par Obama à partir de 2017. L'ex-président américain aurait dirigé une organisation à Washington qui pourrait être considérée comme une sorte de gouvernement de l'ombre pour renverser la présidence de Trump. 

Selon d'autres sources, les financiers d'Obama auraient été une ONG proche de Soros. 

L'ex-président américain aurait été quand-même fondamental pour coordonner le plan et l'Italie aurait mis à disposition sa technologie et ses membres gouvernementaux pour faire avancer ce plan. 

L'histoire de la fraude électorale américaine n'est rien d'autre que celle d'un coup d'État international conçu par le deep state de Washington et exécuté grâce à la participation de divers pays et de gouvernements fermement aux mains du clan mondialiste, parmi lesquels le Canada, l'Allemagne, la Chine, l'Espagne et l'Italie. 

Par conséquent, le mondialisme aurait utilisé tous ces exécutifs qui poursuivent l'agenda du Nouvel Ordre Mondial pour renverser Trump. 

Le rapport entre Salvini et Renzi

Dans l’intervalle, en Italie, les médias continuent à se taire sur le Spygate et sur l'implication de Conte dans ce scandale. 

Le leader de la soi-disante « opposition », Salvini, n'a dénoncé ni l'une ni l'autre. 

Après la chute de son gouvernement, Salvini a formé une sorte d'axe avec Renzi pour ouvrir la voie à un autre gouvernement technocratique dirigé selon toute vraisemblance par Mario Draghi. 

Le système en Italie s'est tu sur ces scandales parce qu'on y voit impliquées autant la majorité que l'opposition. 

Quoiqu'il en soit, un fait est certain. L'Italie est fondamentale pour comprendre ce qui s'est passé dans la fraude électorale américaine. 

Si on veut trouver la clé de ce coup d'État international majeur, il faut nécessairement regarder vers Rome.

Article source : https://lacrunadellago.net/2021/01/07/italiagate-parte-ii-obama-e-renzi-accusati-di-essere-le-menti-della-frode-elettorale-usa/

Rétrolien : https://reseauinternational.net/italiagate-obama-et-renzi-accuses-detre-les-cerveaux-de-la-fraude-electorale-americaine-partie-2/

http://newsnet.fr/184190







lundi 11 janvier 2021

Italiagate : le gouvernement Conte accusé d'être responsable de la fraude électorale contre Trump (Partie 1)


Le Président du Conseil italien, Giuseppe Conte, avec Donald Trump 


Par Cesare Sacchetti 

Apparemment, il n y a pas que la Suisse à avoir eu un rôle crucial dans l'opération de hacking international contre les élections américaines.

Dans la dernière contribution publiée précédemment sur ce blog, l'auteur et chercheur américano-suisse Neal Sutz a expliqué le rôle décisif de la Suisse dans la fraude électorale perpétrée contre Donald Trump.

En fait, la Suisse a acquis le code source de Scytl, le programme lié à son tour au Dominion Voting System, la société canadienne qui a des liens avec la famille Soros et les Clinton, accusée d'avoir déplacé des centaines de milliers de votes de Trump à Biden.

La Suisse a été fondamentale dans la fronde car elle était parfaitement informée des défauts structurels de Scytl, mais n'a prévenu en aucune façon l'administration Trump du grave dysfonctionnement de ce logiciel.

De toute manière, il y a un pays qui pourrait être même encore plus impliqué et considéré comme directement responsable du hacking dans les élections américaines, et ce pays serait justement l'Italie.

A ce propos, il y une reconstruction intéressante et retentissante fournie par Bradley Johnson, un ex agent de la CIA et anciennement chef d'une des postes de l'agence de renseignement américain. 





Bradley Johnson explique comment se serait produit l'attaque informatique


Selon Johnson, l'Italie est directement impliquée dans l'opération de manipulation de votes dans les élections américaines. 

L'ex agent de la CIA confirme que l'histoire de l'opération spéciale conduite par les forces spéciales de l'armée américaine pour récupérer les serveurs de Dominion utilisés pour le hacking, et gardée dans une agence de la CIA à Francfort, est vraie en partie. 

D'autres sources avaient confirmé la pleine véracité des faits, parmi lesquelles le général à la retraite Thomas McInerney.

Selon cette version des faits, un groupe d'assaut des forces spéciales de l'armée américaine aurait donné vie à un véritable raid dans la tentative, apparemment réussie, de récupérer ces serveurs qui conservent la preuve irréfutable du hacking.

Le général McInerney a confirmé aussi qu'à la suite de ce raid, il y aurait eu un échange de coup de feu très dur entre les soldats américains et les paramilitaires de la CIA rentrés spécialement d'Afghanistan pour défendre la station de Francfort. 

Johnson offre une autre perspective, si possible encore plus sensationnelle. L'ex agent de la CIA ne dément pas l'opération des forces spéciales mais soutiens que les données hackées de Francfort auraient été transmises à Rome, plus précisément à l'ambassade américaine de la Via Veneto. Selon Johnson, il ne resterait sur les serveurs de Francfort que des traces partielles de l'attaque informatique, mais la véritable protagoniste de l'opération serait à Rome.

En fait, le jour des élections américaines, il s'est produit quelque chose jamais vu auparavant dans l'histoire des élections américaines.

A l'improviste au cœur de la nuit américaine du 3 novembre, quand en Italie, il était déjà 8 ou 9 heures du matin, le comptage dans les états clés a été interrompu simultanément.

L'opération de manipulation était déjà amplement en cours, mais les hackers se sont rendu compte d'un coup d'un élément imprévu.

«  Trump était en train de prendre un nombre de votes record » explique Johnson, et le déplacement de voix de Trump à Biden réalisé jusqu'à ce moment n'était pas suffisant pour attribuer la victoire définitive au candidat démocrate. 

L'ambassade américaine Via Veneto aurait coordonné le hacking. 

A ce stade, Rome est entrée en scène lorsque elle a reçu les données envoyées depuis Francfort, mais qui aurait du élaborer « des données algorithmiques » pour faire pencher nettement la balance du côté de Biden.

L'opération pour recalibrer l'attaque informatique déjà en cours à Francfort, serait partie de Via Veneto et si cette éventualité était confirmée, la mission diplomatique des États-Unis en Italie serait impliquée dans une tentative de renversement de son propre président.

C'est un scénario qui voit des pouvoirs subversifs internes à l'État, le tristement célèbre deep state, ce que l'on appelle « l'état profond » de Washington constitué de lobbys militaires et financiers, directement engagé dans un véritable coup d'État contre le commandant en chef légitime.

Actuellement, l'ambassadeur américain en Italie, c'est Lewis Eisenberg, déjà au service de Goldman Sachs et sponsor de la première campagne de Trump en 2016, mais en même temps proche du lobby néoconservateur qui est probablement parmi les ennemis les plus féroces du président à cause de son plan de désengagement militaire du Moyen-Orient.

A l'ambassade, selon Bradley Johnson, durant la nuit électorale du 3 novembre, un homme était présent au service du département d'État américain. 

L'ex agent secret américain dans la vidéo où il explique ce qui s'est passé, montre une photo de cette homme prise à l'aéroport de Fiumicino vraisemblablement par les autorités italiennes, apparemment impliquées dans une activité de surveillance du fonctionnement du département d'État américain. 

Cet homme serait directement impliqué dans la coordination du hacking au détriment des élections américaines. 

Le rôle de l'Italie et de Leonardo dans l'attaque informatique

A ce stade, la révélation que fait Johnson est encore plus spectaculaire que tout ce qui a été déjà dit jusqu'à présent.

Il y aurait eu l'entreprise Leonardo, leader en Italie du secteur aérospatial et dans la défense militaire, à avoir eu un rôle décisif dans le hacking. 

Selon l'analyste du renseignement, une fois qu'ils ont eu crée des nouveaux algorithmes pour déplacer encore plus de votes de Trump à Biden, les hackers « auraient envoyé les nouveaux numéros à un satellite géré par Leonardo. »

Le satellite aurait successivement transmis les nouvelles données manipulées d'Italie aux États-Unis. 

Si cette version est confirmée, il pourrait y avoir une participation du gouvernement italien dans les fraudes électorales aux États-Unis.

En fait, le Ministère de l'Économie, qui est le premier actionnaire de la société, a une participation de 30% dans Leonardo.

L'administrateur délégué actuel de Leonardo est Alessandro Profumo, nommé en 2017 par le gouvernement Gentiloni, qui aurait eu un rôle fondamental dans l'affaire Spygate, et confirmé par Conte en 2020. Profumo a été aussi récemment condamné à six mois de réclusion pour manipulation d'actions et fausse communication.

Le gouvernement Conte aurait donc eu un rôle clé dans l'attaque informatique, mettant à disposition l'appareil technologique de Leonardo pour pouvoir réaliser cela qu'on peut définir en tous points comme une attaque directe à la souveraineté des États-Unis. Il est important de se souvenir que le gouvernement Conte a été l'un des premiers parmi les divers exécutifs internationaux à se hâter de reconnaître la victoire présumée de Joe Biden aux élections électorales, quand il n y avait pas encore – et il n y en a toujours pas selon la constitution américaine – de caractère officiel de sa victoire. 

L'Italie en violation directe de l'ordre exécutif de Trump contre les ingérences étrangères

Tout cela ferait de l'Italie un pays en violation ouverte de l'ordre exécutif signé par Trump en septembre 2018 pour faire obstacle aux ingérences étrangères dans les élections américaines. 

En fait, le président n'était pas complètement pas prêt à l'éventualité que des pouvoirs étrangers, en collaboration avec des pouvoirs internes au même gouvernement américain, auraient cherché à subvertir le résultat des urnes.

L'ordre exécutif en question prévient clairement qu'entre 45 jours à partir de la date des exécutions, le 3 novembre, un rapport détaillé sur les interférences étrangères sera remis au président et non dans le processus électoral américain. 

A ce jour, la communauté du renseignement américain a lancé un sabotage en ne remettant pas à Trump le rapport interne à la date prévue du 18 décembre. 

De toute façon, il semble que le directeur du renseignement national, Ratcliffe, puisse avoir déjà livré à Trump des partis du rapport et que le président les a déjà offert à Sidney Powell, avocat activement impliqué dans les recours contre les fraudes électorales, le fauteuil de procureur spécial sur les fraude électorales. 

Le procureur spécial aurait une série de pouvoirs importants tel que lui permettre de séquestrer tous les serveurs qui ont comptabilisé les votes, sur tous ces incriminés de Dominion, et de renvoyer au judiciaire les responsables de la fraude, ainsi que réquisitionner les propriétés de la société directement impliquée dans les fraudes.

Par conséquent, l'ordre exécutif est expressément pensé pour sanctionner tous les acteurs externes et internes auteurs d'éventuels ingérences dans les élections américaines, et l'Italie serait en violation flagrante de cette disposition pour avoir attenté à la souveraineté des États-Unis. 

Si cette version doit être confirmée, cela pourrait ouvrir une crise diplomatique sans précédent dans les rapports entre l'Italie et les États-Unis, parce que l'exécutif Conte se serait clairement ingéré dans les affaires nationales américaines. 

Le deep state italien responsable du premier et du second sabotage contre Trump

Le deep state italien serait quoi qu'il en soit la clé de voûte entière non seulement pour identifier les responsables de la fraude électorale aux dommages de Trump, mais là c'est aussi pour comprendre la première tentative de sabotage international mis en œuvre contre le président américain, c'est à dire le tristement célèbre spygate. 

Le spygate, c'est l'espionnage illégal réalisé contre la campagne Trump en 2016 et c'est une opération qui a vu l'Italie directement impliquée, du moment que les services secrets italiens auraient joué un rôle décisif, sous les gouvernements Renzi et Gentiloni pour chercher d'associer faussement celui qui était alors candidat républicain au Kremlin. 

C'est donc un fil rouge qui lit la première tentative de coup d'état contre Trump et le second, et ce fil rouge est représenté par l'Italie et par l'appareil de pouvoir subversif présent à l'intérieur de l'État étroitement lié et dirigé à son tour par les lobbys internationaux du mondialisme. 

Une chape de plomb a envahi l'Italie au sujet du spygate parce qu'apparemment, la soi-disante opposition n'est pas intéressée non plus à faire la lumière sur cet événement.

Le président du Copasir, l'organisme de contrôle des services secrets italiens, Raffaele Volpi, sénateur de la Lega, a dit à la fin de l'année passée que l'intrigue du spygate est un événement pour remplir les pages des journaux, tandis que le gouvernement Trump n'a pas eu de réticence à le définir légitimement comme un coup d'état contre le président américain. 

Il semblerait que cela n'intéresse personne au parti de la Lega de faire la lumière sur les scandales du deep state italien, probablement aussi à la lumière de la proximité de l'axe Renzi-Salvini, apparemment entre les plus actifs pour favoriser l'avénement d'un gouvernement Draghi, l'homme de l'eurocratie et de l'élite mondialiste qui aurait le devoir de mettre en avant le Grand Reset et donner ainsi le coup de grâce à l'Italie.

Le deep state italien est un marécage qui apparaît directement mêlé aux plus hautes sphères de l'État et qui est la majorité à laquelle l'opposition semble être liée de façon inextricable. 

Cet appareil subversif présent dans les institutions italiennes est utilisé de manière particulière par le mondialisme dans ce qui peut être défini comme un coup d'État permanent véritable à l'encontre de Donald Trump.

Les médias italiens n'ont aucun intérêt à dénoncer ces pouvoirs, du moment que les premiers dépendent étroitement des seconds.

Il y a donc un épisode inquiétant qui s'ajoute à l'histoire du coup d'Etat international contre Trump.

Cet épisode semble révéler que les chemins de la fraude électorale dans les élections américaines conduisent tous à Rome. 


Cesare Sacchetti 

Article source : https://lacrunadellago.net/2020/12/29/italiagate-il-governo-conte-accusato-di-essere-responsabile-della-frode-elettorale-contro-trump/

Rétrolien : https://reseauinternational.net/italiagate-le-gouvernement-conte-accuse-detre-responsable-de-la-fraude-electorale-contre-trump-partie-1/

http://newsnet.fr/184094


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