Cet article est le fruit d’une compilation d’articles trouvés en l’espace de quelques jours sur la pénétration (dans tous les sens du terme je suppose...) du lobby LGBTQP au sein du Vatican dans le courant de ce mois-ci (sauf l'un qui est une étude fouillée datant de 2016 mais j'en ai pris connaissance très récemment).
Il semblerait que même le site “Média Presse Info” tombe dans un piège : celui de croire que les réseaux homosexualistes s’opposent au Vatican mais il en est rien. En fait, l’opposition est de façade, la vision de la société et de la famille se rejoignent complètement ! Et cette opposition est sans doute destinée à leurrer les Catholiques qui croient encore que le catholicisme romain défend pied à pied la famille traditionnelle.
En date du 13 juin, Média Presse Info, un site proche de la Fraternité Saint Pie X, nous informe que le gouvernement irlandais - dont le premier ministre, Leo Varadkar, est ouvertement gay et la ministre des enfants (!), Katherine Zappone est une lesbienne féministe d’origine américaine et adepte de la sorcellerie - va essayer de convaincre le Pape François qui doit se rendre sur l’Île Emeraude ce mois-ci d’adopter des positions plus modernes sur la famille et plus largement la société.
Dicter ? Est-ce vraiment le terme à employer ?....
Extrait : Le premier ministre homosexuel irlandais d’origine indienne, Leo Varadkar, et trois de ses ministres ont décidé de demander au pape François, qui sera présent à Dublin, de reconnaître l’équivalence des ‘unions’ homosexuelles aux familles traditionnelles et de reconsidérer la phrase « seuls les couples hétérosexuels peuvent former des vraies familles ». Et puis, tant qu’ils y sont, ces ministres pédants et ignorants de la doctrine catholique réclament également la suppression du célibat ecclésiastique.
Le problème, amis de MPI, c’est que François et ses petits copains se fichent comme d’une guigne de la doctrine catholique, du moins la vraie, celle qui avait cours jusqu’aux années 60 et comme vous devez le savoir - sinon vous ne seriez pas sympathisants de la FSPX - les années 60, époque du Concile Vatican II qui a bousculé l’Eglise catholique de fond en comble, a été investie par des Francs-Maçons et des sodomites. Selon plusieurs sources, le Pape Paul VI était lui-même un criminel sexuel.... Le prêtre jésuite Malachi Martin dans son roman “La maison battue par les vents” explique que cette nouvelle ère au Vatican est inaugurée par une cérémonie sataniste se déroulant dans la chapelle Pauline au sein du Saint Siège le 29 juin 1963, jour de la St Pierre et Paul...
Voici ce qu’en dit le journaliste indépendant irlandais Gearóid Ó Colmáin dans un des articles d’une série de cinq consacrés au lobby LGBTQP et sa vraie nature :
Dans son livre « Le Rite de la Sodomie – Homosexualité et Église Catholique », Randy Engels expose avec cohérence comment le Vatican est dirigé par un réseau homosexuel depuis plus d’un demi-siècle.
Le cardinal US Francis Spellman et le cardinal Bernardin ont été des acteurs-clés pour assurer la promotion des homosexuels et des pédocriminels dans l’Église Catholique Romaine, dans la période qui a suivi la Seconde Guerre Mondiale. Spellman a également été un « guerrier froid » d’envergure, ayant conspiré en 1949 avec le cardinal József Mindzenty de Hongrie et un groupe de collaborateurs nazis dans le but d’abattre la démocratie populaire dans ce pays.
Depuis le règne du violeur d’enfants en série homosexuel, le Pape Paul VI au Vatican, le « Saint-Siège » est devenu une fosse septique de promiscuité homosexuelle et pédocriminelle. Sous le pontificat de Paul VI, la cardinal Mugavero de Brooklyn avait même rédigé une « lettre pontificale » intitulée « Sexualité – Cadeau de Dieu » qui professait l’acceptation cléricale de l’homosexualité.
Ce culte de l’homosexualité dans l’Église est la force motrice derrière l’épidémie d’abus pédocriminels par des ecclésiastiques, qui ont principalement été infligés à de jeunes garçons. Le groupe de défense catholique des droits LGBT « Dignity USA » a fait les louanges des récentes déclarations du Pape François, qui affirme que l’Église doit demander pardon aux homosexuel(le)s et réaliser des actes concrets pour promouvoir leurs droits. L’Église Catholique est probablement le meilleur et le plus important ami du mouvement LGBT sur le long terme. Les deux mouvements ont un intérêt certain dans l’étouffement des affaires d’abus sexuels d’enfants, et représentent tous les deux les mêmes intérêts de la classe dirigeante. Le Pape François, un ancien collaborateur du régime fasciste d’Argentine, en a beaucoup fait pour améliorer l’image de l’Église avec de fades condamnations du capitalisme financier et des prises de position moralement permissives. Il joue adroitement la carte gauchiste libérale, et les gauchistes petits-bourgeois le trouvent « cool ».
On voit, comme je le pressentais depuis quelques temps, que l’épidémie d’actes pédophiles au sein du clergé n’a évidemment rien d’un accident... Et se multiplient (on pourrait dire “enfin”) sur des sites de sensibilité catholique des articles sur la présence de la mouvance homosexualiste au sein du Vatican. La photo que j’ai choisi pour illustrer mon article est une fresque réalisée par l’artiste gay argentin Ricardo Cinalli et commandée par l’archevêque borderline de Terni en Italie, Vincenzo Paglia. La description qu’en fait l’artiste lui-même vaut son pesant de cacahouettes :
Le même Jésus qui tire deux filets remplis d'être humains rappelle par certains aspects l'Homme-Araignée, mais l'explication qui donne Cinalli - cité dans un livre qui rassemble différents essais sur son oeuvre - est encore plus déconcertante: l'artiste voit en fait, «Jésus comme s'il allait faire son shopping. D'une certaine manière, c'est amusant, parce qu'en marchant dans les rues de Terni, j'ai vu des femmes sortir des magasins et porter des sacs remplis de marchandises, un dans chaque main, et j'ai pensé: c'est exactement ce que j'ai fait. Jésus va faire des emplettes pour les hommes au supermarché .... Le Christ avec deux sacs remplis de personnes.
Je ne sais pas si c’est volontaire ou non, mais on a ici la démonstration criante que la “liberté sexuelle”, le désir sans frein et le “il est interdit d’interdire” rejoint la société de consommation, l’accumulation de biens matériels et d’argent, ou lorsque le Vatican est une nouvelle Sodome vénérant le Dieu Mammon.
Et récemment, un nouveau scandale agite le monde catholique : la nomination de Kevin Joseph Farrell, un cardinal américain d’origine irlandaise, au poste de Préfet du nouveau Dicastère pour les laïcs, la famille et la vie. Ce prélat aurait fermé les yeux sur les crimes sexuels de celui qui a été son supérieur, l’archevêque de Washington, Theodore McCarrick. Celui-ci aurait harcelé et violé plusieurs séminaristes.... Et dans “La maison battue par les vents”, l’Eglise américaine est présentée comme étant particulièrement atteinte par la dépravation qui entraine l’Eglise catholique vers, sans aucun doute, la décadence complète et sa dissolution dans le Nouvel Ordre Mondial...
J’imagine que cet article pourrait être beaucoup long car ce sujet est (hélas) vaste mais j’ai voulu ici mettre en relief l’avalanche de nouvelles qui se recoupent parfaitement en quelques jours, sans oublier, car le lien est évident, l’immonde loi Schiappa.
Et pour pousser plus loin la réflexion.... Si l’enfer n’existe pas, le mal n’est pas puni donc il n y a pas de limites ni interdits....