Le président brésilien Jair Bolsonaro a accusé les ONG d’avoir déclenché les incendies dans la forêt amazonienne. Il a déclaré que les ONG essayent de discréditer ses politiques de développement économique en Amazonie et des groupes environnementaux internationaux s'y opposent depuis des décennies.
Les grands médias ont complètement rejeté les accusations du président brésilien en proclamant qu’il n y a aucune preuve. Y a-t’il quelque chose de plausible dans ces déclarations ? Oui il y en a. Depuis des décennies, des ONG puissantes liées à la haute finance tentent d’internationaliser la forêt tropicale d’Amazonie. Les gouvernements brésiliens successifs se sont opposés à ces tentatives. L’une des ONG qui fait pression pour l’internationalisation est la World Wildlife Fund (WWF) qui a été co-fondée en 1961 par l’ancien prince nazi Bernhard de Lippe-Biesterfeld, Julian Huxley et Godfrey A. Rockefeller, entre autres. La WWF veut que la forêt tropicale d’Amazonie devienne un trust international sous son contrôle. Cela voudrait dire effectivement que l’état brésilien n’aurait plus de souveraineté sur la région, ce qui saboterait le futur économique du pays.
Une autre riche organisation qui se pose en rivale pour le contrôle de l’Amazonie est Greenpeace. Cette organisation n’est pas une organisation environnementale ; c’est plutôt une organisation qui sert de couverture pour des financiers dans le but de retirer la souveraineté des états-nations et de transférer ce pouvoir aux élites mondialistes. Greenpeace avait dans le passé admise s’être engagée dans des actes de terrorisme, de torture et de manipulation de masse.
Les activités criminelles de l’organisation ont été dévoilées par son co-fondateur Patrick Moore. En novembre 1991, le magazine Forbes a cité l’une des devises souvent utilisées par les cadres de l’organisation : « ce qui est vrai n’a pas d’importance, ce qui compte c’est que les gens pensent que c’est vrai. » Tout comme le Sierra Club, l’objectif de Greenpeace est la gouvernance globale et le contrôle de la population, et ils utiliseront n’importe quel moyen pour cette fin - y compris incendier les forêts tropicales.
Comme je l’ai expliqué dans ma série d’articles de 2013 « la Révolution du Vinaigre au Brésil : gauche dans sa forme, droite dans son contenu » , les ONG environnementalistes mondialistes ont réussi a arrêter le développement économique dans l’Amazonie depuis un demi siècle. Ces politiques réactionnaires faites par des groupes de gauche au service du capital financier ont abouti à l’urbanisation des paysans du pays et des populations indigènes, ce qui a mené à la prolifération de bidonvilles, de pauvreté extrême et de malnutrition. Chaque tentative d’amener le progrès économique et industriel à ces gens a vu l'opposition de ces riches ONG. Elles sont obsédées par la promotion de chaque idéologie qui sont contre la vie humaine : avortement, LGBTQPZ, désindustrialisation, primitivisme, etc.
Bien que les Etats-Unis étaient clairement impliqués dans le sabotage de la présidence Roussef et l’emprisonnement de l’ancien président Lula da Silva, le président Jair Bolsonaro est devenu une cible des organisations mondialistes et de la diabolisation des mass-médias. la raison en est assez simple : depuis les années 1960, les régimes de droite comme de gauche au Brésil ont tenté d’industrialiser certains forêts tropicales du pays. Les écologistes veulent vivre dans un « Jardin d’Eden » global avec très peu d’habitants et des ressources naturelles illimitées. Bolsonaro ne propose pas la destruction de la forêt entière mais plutôt l’industrialisation des zones les plus arriérées du pays ce qui est essentiel pour la réduction de la pauvreté. Les restrictions actuelles au développement de la jungle amazonienne ont été imposées par des organisations internationales qui n’ont aucun intérêt quelconque à protéger l’environnement et de faire la promotion de la culture. C’est un racket organisé par un cartel international de banques et d’ONG corrompues ce qui a eu pour résultat l’appauvrissement de millions de gens.
Bien que certains aspects de la politique de Bolsonaro sont hautement contestables, incluant sa posture ouvertement pro-israélienne, son populisme de droite a déjà produit des résultats positifs : les enfants brésiliens sont désormais protégés de l’abus sexuel à l’école puisque la théorie du genre a été mise hors la loi. Cette politique défie hardiment les guides de l’ONU sur l’ « éducation » des enfants qui recommandent que les enfants deviennent sexuellement actifs dès neuf ans seulement, choisissent leur genre à l’école et expérimentent l’homosexualité et d’autres perversions sexuelles. il est excessivement écœurant de penser que pratiquement tous ces écrivains qui proclament être de gauche et qui m’ont accusé d’être « fasciste » n’ont jamais eu le courage d’aborder ce sujet. Cependant, bon nombre d’entre eux sont heureux d’apparaître à la télé russe chaque fois que le Kremlin a besoin d’une version petite bourgeoise molle
d’ « anti-impérialisme » pour recueillir quelques faveurs dans les cercles gauchistes.
d’ « anti-impérialisme » pour recueillir quelques faveurs dans les cercles gauchistes.
Ces opportunistes sans estomac n’ont aucune idée de ce qu’est vraiment l’impérialisme. Les enfants qui ne peuvent même pas dire la différence entre un homme et une femme ne pourront jamais être capable de contester l’impérialisme global. Chaque marxiste qui mérite ce nom le sait - excepté pour bien des soi-disants marxistes.
La guerre contre le régime des pauvres est un autre sujet qui doit être discuté ici. La tentative des environnementalistes de criminaliser l’utilisation de la viande pour les pauvres a rencontré une riposte musclée de l’administration pro-bœuf de Bolsonaro. Désormais, Bolsonaro menace de se retirer des accords climatiques de Paris, en disant que l’administration Trump a déjà démontré que l’agenda du changement climatique est un canular. Aucune quantité d’hystérie de la part de la gauche - « le changement climatique est vrai » ne va changer le fait que la théorie toute entière est basée sur des mensonges et de la manipulation.
Bolsonaro est grossier, vulgaire et sous bien des aspects, méprisable mais pour autant il n'est pas stupide. Il est hautement probable que ses accusations contre les ONG internationales sont vraies. Peut-être que les plus grands succès des populistes de droite sont la façon dont ils ont mis en relief le cynisme putride de nos dégénérés au pouvoir. Le premier ministre irlandais (Taoiseach), Leo Varadkar a déclaré que l'Irlande n'importera pas de bœuf brésilien en accord avec le récent accord commercial entre le Mercosur et l'UE jusqu'à ce que Bolsonaro "protège l'environnement". C'est un canular cynique de relations publiques par un leader qui n'est rien d'autre qu'un gigolo pour les banquiers globaux, un huissier pour des propriétaires corrompus et une icône de la perversion sexuelle imposée à nos enfants.
Varadkar a récemment causé un tollé en Irlande lorqu'il a déclaré qu'il avait réduit sa consommation de viande pour réduire le risque de cancer. Le Taoiseach devraient prendre en compte d'autres changement de style de vie s'il cherche la longévité ! Alors qu'un régime vegan de courte durée peut sans doute être bénéfique, le docteur Natasha Cambell Mcbride a démontré que les effets à long terme du véganisme peuvent être dévastateur pour la santé humaine.
Le régime de Varadkar est en train d'imposer le véganisme à la population irlandaise. Il y aura bientôt des taxes sur la viande ce qui signifiera que seul les riches auront un régime équilibré. Des études menées au Danemark ont indiqué qu'il y a un lien étroit entre les dysfonctionnements cognitifs chez les enfants qui sont privés de viande et leur régime. Aucune civilisation humaine n'a été végane.
Le président français Emmanuel Macron vient d'annoncer que la France revient sur sa parole concernant l'accord UE-Mercosur du à l'échec supposé de Bolsonaro de protéger l'Amazonie. C'est peut-être pas entièrement dénué de signification que les environnementalistes les plus politiquement corrects et suffisants se trouvent être homosexuels dans le cas de Varadkar ou victimes de pédophilie et probablement homosexuel dans le cas de Macron. J'irai même plus loin. Cela va peut-être ensemble que des hommes qui acceptent une telle bande d'homocrates puritains verts, considèrent qu'une jeune fille autiste de seize ans avec des tresses soit considérée comme une leader mondiale. Ce que Greta Thunberg symbolise n'est rien d'autre que le fait inéluctable que les hommes occidentaux sont transformés rapidement et peut-être de façon irréversible en une nuée de gamines pleurnichardes !
Les élites européennes essayent en ce moment de détruire nos paysans en important du bœuf brésilien dans le cadre de l'accord de libre échange du Mercosur. Bolsonaro est naturellement heureux que les exportations brésiliennes inondent nos marchés mais cela détruira l'agriculture européenne. Désormais, sous la forme d'opposition contrôlée à cette politique, nos dirigeants criminels menacent de se retirer de l'accord d'importation à cause de " préoccupations environnementales". Ils n'ont pas de véritables intentions de se retirer mais essayent de détourner l'attention des vrais problèmes.
Tout comme les signataires du CETA ont délibérément exclu toute référence aux politiques de changement climatique dans leur document pour ainsi faciliter une opposition contrôlée clé en main à ce traité, à savoir la tromperie gauchiste disant que les élites tentent d'ignorer le réchauffement global, désormais ces mêmes dirigeants exploitent l'agenda de la forêt amazonienne pour se détourner de leur propres politiques criminelles.
Le leader de la fausse gauche aux Etats-Unis, Noam Chomsky, en a fait beaucoup sur l'absence de référence au réchauffement global dans le traité du CETA. Le principal opposant trotskiste français, François Ruffin, a fait un discours prétentieux où il fulminait sur le fait que le CETA ignorait le réchauffement global. Noam Chomsky a officiellement déclaré qu'il accepterait une dictature fasciste mondiale si cela était nécessaire pour sauver la planète. Ces intellectuels et politiciens mondialistes de gauche sont les ennemis des peuples.
Les incendies de l'an dernier en Espagne et les incendies récents au Brésil et dans l'Arctique ont été largement médiatisés comme étant dus au "réchauffement climatique anthropique" et ce que les grands médias ont refusé de mettre en évidence, c'est le fait que ces trois incendies font l'objet d'enquêtes criminelles. Pourquoi les médias ont échoué à informer le public sur ce fait ? Il est fort possible que tous ces incendies soient causés par des pyromanes bien connectés avec un agenda et qu'il est possible que cet agenda soit d'imposer un peu plus en avant le régime global vert en émergence.
Le président français Emmanuel Macron a dit que les incendies en Amazonie constitue une crise internationale. Bolsonaro l'a accusé d'être un néo-colonialiste. Bien que farouchement opposé à la gauche sur les questions de société de grave importance, Bolsonaro est au final poussé dans la direction de la tradition anti-impérialiste latino-américaine en affirmant la souveraineté nationale contre la mégalomanie mondialiste.
Les problèmes idéologiques de l'Amérique Latine entre les populismes de gauche comme de droite sont similaires à ceux de l'Europe : ils ne peuvent tout simplement pas se rencontrer et débattre de leurs différences pour le bien commun. Seuls les Italiens sont arrivés à obtenir un compromis entre la gauche et la droite sous le leadership de Matteo Salvini. C'est largement du au fait que Salvini est un ancien communiste et qui par conséquent sympathise avec les causes de gauche. En politique, il n y a pas de bien et de mal, il y a seulement ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. A l'heure actuelle, le populisme de droite est, bien plus que bien d'autres courants politiques, celui qui combat le plus les excès de l'impérialisme mondialiste.
Il y a beaucoup de choses que je déteste chez Jair Bolsanaro - son hostilité et son ingérence dans les affaires vénézuéliennes, sa défense de la torture, ses connections avec la franc-maçonnerie et sa lâche soumission à Israël mais, comme Donald Trump, il représente une résurgence et probablement même la dernière bataille du principe de réalité dans la politique internationale. C'est pourquoi, il est une menace et c'est probablement pour cela que les criminels environnementalistes ont sans doute mis le feu à la forêt amazonienne ; parce que le complexe des ONG industrielles est un réseau terroriste qui maintient le monde en développement dans la pauvreté depuis des décennies.
Article source : https://www.gearoidocolmain.org/fires-in-the-amazon-jungle-could-they-be-arson/
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