jeudi 6 février 2020

Minces socialistes et gros mondialistes


Minces socialistes et gros mondialistes*

Le cartel narco-socialiste : le Pape et le chaos en Bolivie - cinquième partie

Le maire de Mexico, Claudia Sheinbaum, a accordé l'asile politique à Evo Morales. Elle est le premier maire juif de Mexico et une amie proche de la femme d'Andres Manuel López Óbrador (AMLO). Selon l'ancien journaliste de gauche et co-fondateur de Morena, le parti du président, Alfredo Jalife Rahme, Elle est un atout de la fondation Rockefeller et du financier George Soros. Elle a aussi des liens étroits avec la riche dynastie juive Kabbaz.

Jalife a dit qu'il est absolument scandaleux qu'une telle femme puisse être considérée comme de gauche. Elvira Daniel Kabbaz, une milliardaire juive, est une partisane clé de AMLO. Une autre femme juive puissante est Yeidckol Polevnsky qui est présidente du parti au pouvoir Morena.

Pendant la durée de son exil au Mexique, Sheinbaum va assurer la protection de Morales avec une présence policière. La police de la ville de Mexico est formée par les Israéliens. L'étendue de la pénétration israélienne à Mexico est récemment devenue visible lorsqu'on a révélé que tous les officiels de la compagnie pétrolière Pemex étaient espionnés par la société de renseignement israélienne Black Cube.

Le meurtre de deux gangsters israéliens le 30 juillet dernier par des membres du cartel Jalisco Nueva Generación (JNGC) a aussi déclenché un contrôle public des activités criminelles israéliennes au Mexique. Les mots semblaient restés coincés dans la bouche du président mexicain AMLO lorsqu'un journaliste lui a posé des questions sur les opérations d'espionnage qu'Israël menait dans son pays.

Selon Jorge Santa Cruz, le sous-secrétaire d'état Ricardo Saucedo Peralta, l'homme en charge de la sécurité mexicaine, travaillait avec une société de renseignement israélien. Les rapports du renseignement mexicain démontrent que des anciens agents du Mossad ont été fortement impliqués dans l'entrainement des cartels de la drogue et des livraisons d'armes leur étant destinées.

L'universitaire John Ackerman, un membre de l'Open Society Foundation, est un soutien majeur de Morales au Mexico. Ces universitaires gauchistes liés à des intérêts juifs puissants, sont les architectes de l'image positive de la nouvelle gauche en Amérique latine.

Les activités controversées d'Israël au Mexique ont une longue histoire. En octobre 2001, deux Israéliens ont été arrêtés après être rentrés dans le Congrès mexicain déguisés en photographes. Les Israéliens étaient armés avec des grenades à main et des explosifs. L'histoire a  largement été couverte par la presse mexicaine à l'époque et dans la Pravda de Russie, mais elle n'a jamais fait pleinement l'objet d'une enquête. Plus tard, les deux Israéliens ont été relâchés.









La Voz de Atzlan a rapporté que l'ambassade d'Israël :

« utilisait des mesures musclées pour que les deux Israéliens soient relâchés. Des rencontres en urgence au plus haut niveau ont eu lieu entre le Secrétaire d'état aux Affaires Étrangères mexicain, Jorge Gutman, le général Macedo de la Concha et un envoyé de haut niveau d'Ariel Sharon qui était venu à Mexico spécialement dans ce but. Elías Luf de l'ambassade d’Israël travaillait nuit et jour et leur porte-parole officiel, Hila Engelhart, passait à la vitesse supérieure après des heures de silence complet. Personne ne sait ce qui s'est passé pendant ces rencontres au sommet, mais ils sont nombreux à Mexico à être incrédules face à ces remises en liberté. Les armes à feu et toutes catégories d'explosifs sont hautement illégaux pour les citoyens mexicains et le fait que ces deux Israéliens en avaient à l'intérieur du Congrès mexicain rend leur remise en liberté hautement suspecte. »

Le journal a suggéré que les liens du général Macedo de la Concha avec Israël aurait été décisifs dans la libération de ces hommes. Le parallèle avec les activités suspectes d'Israéliens – dont bon nombre d'entre eux ont été arrêtés pour soupçon de terrorisme – pendant l'attentat du 11 septembre 2001 aux États-Unis est significatif. 

On doit se demander ce que signifie l'anti sionisme lorsqu'au final, on dépend d'un pays dirigé par Israël pour sa protection. Le nouveau régime sioniste sollicite désormais l'aide d'Israël pour briser la rébellion pro-Morales. Rien ne semble avoir de sens ici.

Réduire l'opposition au silence









Peu d'officiels de haut rang au Mexique osent critiquer la complicité de l'état avec le trafic de drogue. Le 24 mai 1993, le cardinal Juan Jesús Posadas Ocampo a été abattu dans sa voiture à l'aéroport international de Guadalajara avec six autres personnes. L'explication officielle du gouvernement au sujet de sa mort, c'est qu'elle aurait été causée par des tirs croisés entre gangs de la drogue rivaux mais ses avocats n'ont trouvé aucune preuve de ces tirs croisés. Le cardinal Posadas critiquait sans détour l'accord de libre échange entre les États-Unis et le Mexique et la complicité du régime du président Carlos Salinas de Gortari dans le trafic de drogue.

Il avait apparemment reçu des menaces de mort avant son assassinat L'avocat Jesus Becerra a écrit un livre en 2014 affirmant que le régime de Salinas était derrière ce meurtre. Le procureur général Raphael Macedo de la Concha était chargé de l'enquête. Il a été accusé par le successeur de Posada, le cardinal Sandoval, de manquer de volonté politique pour enquêter sur ce dossier. Le cardinal Sandoval croit qu'il s'agit d'une conspiration du gouvernement. Raphael Macedo de la Concha est actuellement l'attaché militaire de l'ambassade du Mexique à Rome. Le pape François lui a-t-il posé des questions sur ce dossier ? J'en doute fortement.

AMLO est soutenu par Slim

Nombreux sont les gens de gauche qui ont acclamé la récente élection d'AMLO comme étant une « victoire du peuple » contre le néolibéralisme. C'est aussi ce qu'on pensé les néolibéraux ! L'un des soutiens principaux d'AMLO est Carlos Slim, la deuxième fortune du monde. Le nom d'origine de Slim est Salem. Il est d'origine libanaise.

Slim s'est enrichi dans les années 1980 pendant le désastreux régime néolibéral de Salinas qui est considéré avec raison comme l'un des leaders les plus corrompus de l'histoire moderne. Salinas avec son frère Raul ont dérobés des milliards de dollars aux Mexicains alors qu'ils bradaient les entreprises d'état pendant les années 1990. Raul a été plus tard emprisonné pour meurtre et Carlos s'est exilé à Dublin en 1994.

Un reportage récent de Telesur a révélé que le secret de la réussite de Slim, c'est le commerce de la cocaïne. Encore plus embarrassant pour les fans gauchistes d'AMLO est le fait que le frère de Slim était un officier du renseignement du Département fédéral à la sécurité pendant la sale guerre des années 1970 lorsque les gauchistes étaient kidnappés, torturés, assassinés et portés disparus.

En se basant sur des mails qui ont fuités d'agents du DEA (Drug Enforcement Administration), Telesur a expliqué que « une grosse partie de la fortune qui est attribué à Slim appartient en fait à l'un des plus grands bandits du Mexique, l'ancien président Carlos Salinas de Gortari. »

Donc, Slim est la figure de proue de Salinas de Gortari. Slim n'a pas caché son soutien à AMLO. Il n y a rien de mieux pour les affaires de Slim qu'un bon petit bourgeois socialiste qui veut légaliser les drogues !

Dans un panégyrique du leader mexicain, Andre Vltchek explique : "seul un génie peut briser, sans terribles pertes, l'étreinte mortelle avec les États-Unis et beaucoup pensent que le président élu Obrador est précisément un tel leader." Non, M.Vltchek, AMLO est une marionnette ; Salinas est le génie !





Salinas et Slim

Lorsque le journaliste mexicain Diego Enrique Osorno faisait des recherches pour sa récente biographie de Carlos Slim, tous les politiciens qu'il a interviewé ont dit qu'ils ne voulaient pas être cités par peur pour leurs vies. Slim est l'homme le plus craint d'Amérique latine.

Slim possède actuellement les plus importantes participations dans le New York Times ce qui a fait de lui l'ennemi numéro un de Donald Trump. Trump a admis que Slim est derrière de nombreux mensonges contre lui. Le gangster mexicain est proche des Clinton et a été impliqué, avec Soros, dans le trafic de migrants vers l'Europe et les États-Unis. Un contrôle effectif de la frontière américano-mexicaine serait coûteux pour les cartels et leur chef Slim.

Salinas et Slim fourniront la protection à Morales et les gauchistes latino-américains avec l'aide de leur vaste fortune, un réseau d'ONG et d'idiots utiles qui feront des ravages sur tout régime qui menacerait leurs intérêts.

Le nouveau régime de La Paz demande maintenant de l'aide aux Israéliens pour vaincre les gauchistes. Que ce soit du sionisme ou de l'antisionisme, il semble ici qu'il n y ait aucun échappatoire au judaïsme politique que ce soit dans une forme ou dans une autre.


Le cardinal Juan Sandoval a expliqué sans détour à Lifesite news ce qu'il croit savoir sur le but de la mafia mondialiste. Il a expliqué :

« Une élite anglo-sioniste qui est très dominante sur des organisations comme les Nations-Unies et d'autres, ont un plan pour arriver à un ordre nouveau. Et le nouvel ordre est un gouvernement mondial : une seule économie, une seule culture et une seule religion par laquelle ils élimineront la foi chrétienne. »

AMLO est d'accord avec lui. Le 31 décembre 2016, il a tweeté qu'il avait rencontré le leader du Parti travailliste britannique, Jeremy Corbyn pour discuter de la possibilité de mettre en place un gouvernement mondial. 

Lorsque les officiels du renseignement du Pape donnent l'alerte et que des cardinaux de premier plan confirment que la théorie conspirationniste du Nouvel Ordre Mondial est un fait conspirationniste, les sages en prennent note. Mais qu'en disent les idiots ?

Impérialistes de gauche

les 850 « intellectuels » qui ont publié un texte dans le Guardian dénonçant le putsch de novembre en Bolivie, dont John Pilger et Noam Chomsky, sont des complices du mondialisme.

Mais ce ne sont pas tous des idiots. Certains savent très bien ce qu'ils font. Parmi les signataires, on trouve l'anthropologue Stuart Rockefeller, directeur du Rockefeller Philanthropy Advisors et petit fils de l'oligarque Nelson Rockefeller. Rockefeller a fait une grande partie de ses recherches en Bolivie et est un soutien essentiel du “socialiste” déchu.


* Le titre d'origine est "Slim Socialists and Fat Globalists". "Slim" (mince) fait bien sûr référence au milliardaire du même nom, un jeu de mot impossible à rendre en français (NDLT)


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