Par E. Michael Jones
Source : Culture Wars magazine
Source : le soir.be
« Cela arrive à des dizaines de milliers de familles suédoises » (1) Malena Ernman, Scener från Hjärtat
Le récit conventionnel du changement climatique a trouvé un nouveau souffle lorsque Greta Thunberg, l'activiste écologiste suédoise âgée de 16 ans, est arrivée à l'Assemblée générale des Nations-Unies en septembre dernier. Comme pour conférer une tournure plus dramatique à son arrivée, Greta est venue de sa Suède natale non pas par avion mais sur un voilier, qui avait traversé l'Atlantique à l'apogée de la saison des cyclones avec son père pour amoindrir leur empreinte carbone. Le fait que son voilier était en fait l'un des yachts de course de la famille Rothschild a été révélé seulement après les faits, tout comme le fait que l'équipage entier qui accompagnait Greta et son père avait prévu de retourner en Suède en avion après son séjour en Amérique, mais ces vérités dérangeantes qui mettaient en lumière ceux qui était derrière l'agenda n'eurent que peu d'incidence pour diminuer la mise en scène entourant leur arrivée.
Les grands médias ont accueilli Greta comme l'enfant messie du changement climatique, et, influencée par tout le battage médiatique venant de New York, l'Église de Suède, qui était l'église d'état jusqu'à son déclassement en 2000, a re-tweeté son « annonce » du 1er décembre 2018, qui déclarait que « Jésus de Nazareth avait désormais nommé Greta Thunberg comme l'un de ses successeurs.
La Suède a une longue histoire concernant le fait de transformer le changement climatique en cause sacrée. Dans un article qui rejetait l'hystérie du changement climatique autour de la visite de Greta Thunberg comme étant une panique morale, le climatologue du MIT à la retraite, Richard Lindzen, a mentionné le rôle crucial que des suédois tel qu'Olof Palme, le père de l'ingénierie sociale suédoise, avait joué dès les années 1970, lorsqu'il a été au service du bureau de la Table ronde intergouvernementale sur le changement climatique (Intergovernmental Panel on Climate Change – IPCC). Ce sont les prédictions de l'IPCC sur le dioxyde de carbone qui ont joué un rôle crucial dans la conversion de la mère de Greta à la cause du changement climatique. Ou comme elle l'a précisé :
Il y a environ 30 ans, James Hansen se tenait debout devant le Congrès américain et expliquait pourquoi le réchauffement climatique n'était pas un mythe. « Nous pouvons dire avec une certitude de 99% que le réchauffement climatique n'est pas causé par des variations naturelles mais plutôt par l'émission de CO2 rejeté par l'homme et d'autres gaz à effet de serre dans l'atmosphère. » A-t-il déclaré le 23 juin 1988. (2)
Absent du récit de Ernman est le fait que Gavin Schmidt :
Le successeur de Jim Hansen à la boutique de la NASA de New York, le GISS (Goddard Institute for Space Studies- NDT), a remarqué que « les discours généraux sur les extrêmes sont quasiment introuvables dans la littérature mais semblent abonder dans les médias populaires. » Il continua pour dire que cela prendrait seulement quelques secondes de réflexion pour se rendre compte que les perceptions populaires que « le réchauffement climatique signifiait, que tous les extrêmes devaient accroître constamment » était un « non sens. »
Henrik Palmgren, le fondateur et producteur de Red Ice TV, a documenté les liens de Greta avec des cercles politiques suédois, les appelant « un atout manufacturé construit par les mêmes élites qu'elle proclame combattre". Sa notoriété vient du fait qu'elle avait organisé une grève scolaire pour le climat le 20 août 2018 d'elle-même, ou du moins c'est ce qui était expliqué dans les grands médias. Il manquait à ce récit la mention d'Ingmar Rentzhog, le directeur de l'organisation connue sous le nom de Climate Change : We Don't Have Time (Changement climatique : nous n'avons pas le temps - NDT), qui comme par hasard marchait à côté du parlement suédois le matin du 20 août 2018 et a buté sur Greta. Rentzhog était un diplômé du Climate Reality Project (Projet Réalité Climat - NDT) d'Al Gore, et qui partageait la scène au Parlement climatique avec Malena Ernman, qui se trouve être la mère de Greta. Rentzhog avait été informé de la protestation de Greta une semaine auparavant par un autre activiste climatique suédois. Loin d'être isolée, Greta était le fruit de ce que Henrik avait appelé « un cercle incestueux de sociaux-démocrates du secteur de l'énergie », en plus d'être le produit de quatre générations d'ingénierie sociale en Suède.
Elle était aussi – peut-être même à cause de ce fait – mentalement malade, un fait qui a poussé le commentateur de Fox News, Michael Knowles, à affirmer que « l'hystérie du mouvement sur le climat ne relève pas de la science, et si cela relevait de la science », a continué Knowles, « ce serait mené par des scientifiques plutôt que par des politiciens et une petite suédoise mentalement malade qui est exploitée par ses parents et par la gauche internationale. » La proclamation de Knowles a provoqué une « réaction viscérale » du commentateur libéral Christopher Hahn, qui avait abandonné son rôle de commentateur et est devenu à la place un défenseur du récit conventionnel sur le climat en faisant un portrait de Knowles en « un adulte... attaquant un enfant. »
«Honte à vous le maigrichon !' A crié Hahn à l'adresse de Knowles. « Elle essaye de sauver la planète parce que votre président ne croit pas au changement climatique. Vous êtes méprisable de parler d'elle de cette façon à la télévision nationale et vous devriez vous excuser auprès d'elle dès maintenant. »
Fox News a épargné Knowles de faire cet effort en s'excusant pour lui. Dans une déclaration au Daily Beast, un porte-parole de Fox News a dit : « Le commentaire fait par Michael Knowles qui était invité à The Story ce soir a été désobligeant – nous nous excusons auprès de Greta Thunberg et de nos téléspectateurs. » Fox News dira plus tard à Jeremy Barr du Hollywood Reporter que Knowles n'était plus programmé de nouveau en tant qu'invité.
La confrontation de Fox News a fourni la dramatisation à un récit qui était en mauvaise posture depuis une décennie avant l'arrivée de Greta à New York. A la fin 2009, James Delingpole du Telegraph a inventé le terme « Climategate » pour décrire le scandale qui avait émergé des courriers électroniques ayant fuité de l'Unité de recherche climatique de East Anglia. Les révélations étaient d'importance car les professeurs associés avec cette université avaient joué un rôle crucial en générant des questionnements sur le changement climatique à cause de leur connexion à l'IPCC. Le professeur Philip Jones, directeur de l'Unité de recherche climatique d'East Anglia (Climatic Research Unit- CRU), était chargé des données des températures globales qui avait amené au désormais célèbre « graphique en crosse de hockey », qui a montré que « après 1000 ans de déclin, les températures globales étaient récemment montées en flèche à leur plus haut niveau dans l'histoire des données et étaient devenues l'icône centrale du mouvement entier du réchauffement climatique entièrement fait par l'homme. »
Lorsqu'en 2003, le statisticien canadien Steve McIntyre a remis en question la base statistique entière des conclusions du IPCC et les données du CRU d'East Anglia sur lesquelles elles étaient basées, le docteur Jones et ses collègues ont réagi en s'engageant dans des tactiques sournoises selon lesquelles ils auraient pu éviter de publier leurs données à des gens de l'extérieur dans le cadre des lois sur la liberté de l'information. » Les actions de Jones incluaient un comportement criminel parce qu'il enjoignait ses collègues à effacer des données cruciales après qu'ils aient eu reçu les demandes sur la loi sur la liberté d'informer.
La pseudo « science » derrière le changement climatique s'est avérée être profondément politique. Toutes les données avaient du être manipulées « pour baisser les températures du passé et ajuster les températures récentes vers le haut pour donner l'impression d'un réchauffement accéléré. En plus de supprimer leurs propres données, « l'équipe de hockey » a mené une campagne sans pitié pour réduire au silence les scientifiques qui n'étaient pas d'accord avec eux, « s'assurant ainsi qu'aucune recherche dissidente ne pourrait se frayer un chemin dans les pages des rapports de l'IPCC.
Ignorant complètement le scandale d'East Anglia, le prince Charles a fait une déclaration en 2014 appelant le changement climatique « le défi le plus décisif et le plus essentiel défi de notre temps » mais il ne pouvait pas endiguer la marée de scepticisme climatique que le scandale du CRU avait déchaîné.
Peut de temps après l'arrivée de Greta à New York, 500 scientifiques ont publié une déclaration affirmant qu'il n y avait aucune base pour affirmer que les émissions de CO2 étaient responsables du changement climatique. Ces scientifiques ont continué pour dire qu'« il n y a pas d'urgence climatique..."
« Il n y aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres désastres naturels similaires, ou les rendant plus fréquents.... Par conséquent, il n y a aucune raison de paniquer et de s'alarmer. Nous nous opposons fortement à la politique dangereuse et irréaliste du zéro CO2 proposé pour 2050. »
L'un des scientifiques qui avait signé cette déclaration était Richard S. Lindzen, le professeur de météorologie à l'Institut de technologie du Massachusetts, Alfred P. Sloan, jusqu'à sa retraite en 2013. Lindzen, qui est l'auteur de plus de 200 articles sur la météorologie et la climatologie et un membre de l'Académie américaine de sciences, a caractérisé l'affirmation que le climat puisse être contrôlé par une variable unique - en un mot, le dioxyde de carbone - comme étant basée sur un raisonnement qui confine à la pensée magique. Lorsque les politiciens amplifient ces chiffres encore plus, Lindzen est forcé de conclure que la véritable force derrière le mouvement du changement climatique n'est pas de la science mais plutôt des « acteurs politiques et autres cherchant à exploiter les occasions qui abondent dans le secteur de l'énergie et ses milliards de dollars. » C'était sur ce point que Lindzen a mentionné l'ancien premier ministre suédois Olof Palme, en tant que membre du conseil de l'IPCC et l'un des acteurs principaux conduisant cet agenda.
Malena Ernman. Source : hans.se
Lindzen a alors expliqué que les élites sont particulièrement vulnérables à cette sorte de manipulation parce que :
1. Ils ont été éduqués dans un système où le succès a été prédit sur leur capacité à plaire à leurs professeurs. En d'autres mots, il n'ont pas été conditionnés à rationaliser quoique ce soit.
2. Alors qu'ils sont vulnérables aux récits erronés, ils sont bien moins vulnérables économiquement que les gens ordinaires. Ils pensent qu'ils sont assez riches pour supporter les difficultés économiques des politiques proposées et sont assez intelligents pour souvent en bénéficier.
3. Le récit est assez simple pour que l'élite pense « comprendre » la science.
4. Pour beaucoup (en particulier à droite), le besoin d'être vus comme intelligents font qu'ils craignent que s'opposer à tout ce qui se réclame comme « scientifique » pourrait mener à ce qu'ils soient considérés comme ignorants, et cette peur surpasse n'importe quel investissement idéologique à la liberté qu'ils devraient avoir. Aucun de ses facteurs ne s'appliquent aux gens « ordinaires ». Cela pourrait être l'argument le plus fort pour une démocratie populaire et contre le leadership de ceux « qui savent le mieux ».
Les scientifiques sont utiles car ils font partie du groupe caractéristique de ceux « qui savent le plus ». Ils renforcent les célébrités dans leurs croyances qu'ils comprennent le problème parce qu'ensemble, les scientifiques (dont certains aspirent à devenir célèbres) et les élites, peuvent créer un récit conventionnel dans les médias de masse qui mène à une « augmentation énorme des financements qui ont accompagné l'hystérie du réchauffement climatique. »
Le but de ces affirmations, selon Lindzen, est selon toute évidence d'effrayer et embrouiller le public, et faire croire qu'il y a une preuve là ou en fait il y en a pas. »
Lindzen conclut en disant qu'aucune de ces mesures proposées pour arrêter le changement climatique aura « beaucoup d'impact sur les gaz à effet de serre. » L'escroquerie inclut le détournement de milliards de dollars de ressources qui auraient pu être utilisées pour soulager la pauvreté dans les régions les plus pauvres du monde, en diabolisant un développement basé sur l'utilisation prudente de l'énergie. Les environnementalistes ont toujours un projet promu par les élites mondiales, qui ont toujours utilisé des catastrophes imminentes comme la surpopulation, le Sida, ou le refroidissement global comme un prétexte pour promouvoir l'agenda des oligarques. La conclusion inévitable qu'on doit retirer de l'analyse de Lindzen, est que la cause du réchauffement climatique est psychologique.
L'ancien commentateur de Fox News, Michael Knowles avait bien sûr raison en affirmant que Greta était mentalement malade. Greta a déclaré de façon répétée qu'elle souffre d'une forme d'autisme connue sous le nom de syndrome d'Asperger, et en fait s'en vante. Comme la une d'un article le montre bien : « Greta Thunberg est devenue une activiste climatique non pas en dépit de son autisme mais en raison de celui-ci. » Comme Greta l'a bien montré elle-même, « je souffre du syndrome d'Asperger... Et donc, je ne fais pas très attention aux codes sociaux. » Le fait de faire partie de la « neurodiversité » lui donne le super pouvoir de penser de penser en dehors des clous. « Sans mon diagnostic, cela n'aurait pas été possible parce qu'alors, j'aurais été juste comme n'importe qui. Désormais, je réfléchis trop sur tout. » Et comme un journaliste l'a noté :
Il y a quelques années, l'ascension de Thunberg vers la célébrité aurait été formulé dans les médias ainsi : une jeune fille « surmontant » son handicap, pour devenir le leader d'un mouvement mondial. Mais Thunberg elle-même fait un argument différent et plus radical : elle est devenue une activiste non pas en dépit de son autisme mais grâce à lui. »
Greta est alors venu expliquer au reporter du New Yorker, Masha Gessen, « Je vois le monde d'une façon un peu différente, avec une autre perspective. C'est souvent que les gens ont un intérêt particulier concernant l'autisme.... Je peux faire la même chose pendant des heures. » Thunberg a alors transformé sa propre maladie mentale en une norme pour tous les autres, en affirmant que « elle ne pouvait pas comprendre pourquoi les autres n'était pas comme elle obsédés par la lutte contre le changement climatique ».
Loin d'être un handicap, la maladie mentale de Greta l'a transformée en visionnaire. En plus de connaître les capitales de tous les pays du monde et tous les éléments de la table de Mendeleïev , Greta, selon sa mère, « est l'une des rares personnes qui peut voir le dioxyde de carbone à l'oeil nu. Elle voit comment les gaz à effet de serre s'échappent de nos cheminées et montent avec le vent lorsqu'ils transforment l'atmosphère en une invisible décharge gigantesque. C'est une enfant. Nous sommes l'empereur, et nous sommes tous nus. » (3)
Le philosophe Michel Foucault
L'homme qui a transformé les malades mentaux en visionnaires sur une échelle globale, c'est Michel Foucault. Il en est venu à cette conclusion après avoir passé trois ans en Suède pendant le point culminant de leur expérience d'ingénierie sociale dans les années 1950. Que Michel Foucault, l'homme qui a affirmé que tous les fous sont des visionnaires, ait écrit Histoire de la folie à l'âge classique pendant son séjour en Suède, n'est pas une coïncidence. Foucault, le philosophe homosexuel, a été tout à la fois attiré et révulsé par l'engagement suédois de créer une utopie sexuelle par l'ingénierie sociale. Pour résoudre ses sentiments contradictoires, Foucault a passé trois ans à l'institut français de l'Université d'Uppsala se cachant des « Suédois silencieux », pour écrire ce qui allait devenir Histoire de la folie à l'âge classique, sous une forme dont il espérait qu'elle lui garantirait un doctorat. En lieu et place de l'approbation, Foucault a buté contre le « positivisme froid » du professeur Sten Lindroth, qui n'a pas été impressionné par la thèse de Foucault, l'a rejetant comme étant « pas sérieuse, pauvre historiquement, pleine d'assertions spéculatives et trop littéraire. »
Depuis, les Suédois se donnent des gifles parce qu'Histoire de la folie à l'âge classique« est considéré unanimement comme l'un des livres les plus importants de la deuxième moitié du XXème siècle. Dans les trente dernières années, le livre a été cité dans plus de dix mille articles universitaires à travers le monde. En 2014, la 14ème rencontre du Cercle international sur Foucault s'est tenue à l'université de Malmö, au sud de la Suède. »
Foucault était attiré par la Suède parce qu'il voyait ce pays comme un endroit où il pouvait agir en fonction de ses désirs sexuels illicites, mais Foucault voulait aussi être puni pour ses transgressions, et il était clair que cela n'allait pas arriver dans une Suède libérée sexuellement. Avec comme résultat que « Foucault a quitté la Suède déçu » par :
Le mutisme des Suédois, leur silence et leur habitude de parler avec une sobriété elliptique, qui m'a poussé à commencer à parler (écrire ?) et développer un bavardage sans fin avec lequel je pensais pouvoir irriter un Suédois. (… En Suède), un humain n'est qu'un point en mouvement, obéissant aux lois, aux habitudes et aux formes au milieu d'un trafic qui est plus puissant et le vainc. Dans sa tranquillité, la Suède révèle un meilleur des mondes où l'on découvre que l'humain n'est plus nécessaire.
Bien sûr, Greta souffre du même mutisme que Foucault trouvait comme étant une part répugnante de la personnalité suédoise. Malena Ernman, la mère de Greta, a décrit les détails de la maladie mentale de Greta dans ses mémoires Scener från Hjärtat ou « Scènes venues du cœur », qui n'a pas encore été traduit en anglais. Ernman a été une célèbre chanteuse d'opéra qui est devenue encore plus célèbre lorsqu'elle a gagné l'Eurovision de la chanson en 2009. Ernman est née en 1970, d'une famille connue qui comprend des ministres luthériens, mais dans son enfance, Ernman a vécu dans un foyer où l'humanisme était considéré comme le commandement ultime.
Ernman est venue dans ce monde à la fin d'une campagne transgénérationnelle impitoyable qui avait mis fin aux derniers vestiges du christianisme de la vie publique suédoise et avait mis à la place un plan de libération sexuelle qui avait distrait le public des conséquences du vide spirituel que le socialisme avait crée dans la culture suédoise.
De 1965 à environ 1973, le gouvernement suédois a construit un million de logements pour transférer les Suédois de la campagne à des installations en ville qui avait l'eau courante et d'autres éléments de confort, et en faisant cela, ils avaient réduit le temps que les femmes passaient à la maison, de quatorze à quatre heures par jour, permettant aux suédoises d'investir ces dix heures de gagné dans des carrières qui impliquaient des emplois hors du foyer. Les architectes de ce plan, comme je l'ai mentionné dans mon analyse de Midsommar du numéro de septembre de Culture Wars, étaient Harry Schein, Ingmar Bergman et plus important, Olaf Palme.
Greta a été le produit d'une campagne d'ingénierie sociale qui s'est passée en l'espace de quatre générations en Suède et qui avait des similitudes étranges au déclin transgénérationnel de l'Aristocratie à la Timocratie, à la Ploutocratie, à la Démocratie et au final, la Tyrannie que Platon a décrit comme étant la trajectoire des cités-états grecques dans La République.
(fin de la première partie)
(1) Ernman.p.69
(2) Ernman.p.206
(3) Ernman. p. 45
(3) Ernman. p. 45
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire