vendredi 20 septembre 2019

Le génocide dans l'état indien de l'Assam : les islamo-gauchistes sont responsables






Source : enewsroom.in


« Si nous n'arrêtons pas cela maintenant, nous finirons sans doute dans des camps de réfugiés. » C'est ce qu'un citoyen assamais a dit à des journalistes dans le documentaire « Assam – The Silent Genocide. » (Assam – le génocide silencieux). L'Assam est un état situé dans le nord-est de l'Inde. Depuis que le pays a pris son indépendance à la Grande-Bretagne en 1947, la population musulmane de l'état a augmenté de façon exponentielle. Plusieurs régions de l'Assam qui bordent la frontière avec le Bangladesh sont désormais à majorité musulmane.

Ce qui était une minorité insignifiante pendant le XIXe siècle est désormais devenu, par une immigration de masse, un cinquième de la population de l'état. La population hindoue qui est prédominante en Assam, dit que les immigrants illégaux s'emparent de leurs terres. Ils ont accusé les immigrants d'occuper les terres du gouvernement et de voler les aides de l'état. 

La peur de l'immigration musulmane a incité la formation du All Assam Students Union (AASU) – Union étudiante de tout l'Assam -qui a milité contre l'immigration. Pendant la campagne des élections de 1983, les hindous assamais ont remarqué un pic massif des inscriptions sur les listes électorales. L'augmentation était due aux immigrants bangladais. Beaucoup ont suspecté le Parti du Congrès d'utiliser les immigrants comme réserve de voix et ont demandé qu'on mette un terme à la manipulation de l'immigration pour un gain politique et financier.

Le 18 février 1983, l'Inde a fait l'expérience des pires émeutes depuis sa fondation : 2191 Bangladais ont été massacrés par des hindous assamais et des tribus lalungs. L'attaque est devenue connue sous le nom de massacre de Nellie. Aucun groupe n'a revendiqué de responsabilité dans cet attentat. En dépit de la bonne réputation du Parti du Congrès dans la communauté bangladaise, le dossier de 600 pages de la commission d'enquête n'a jamais été rendu public, et personne n'a été mis en examen. Les horribles attaques ont fait beaucoup pour discréditer le mouvement anti-immigration assamais, mais il est étrange qu'un gouvernement qui bénéficiait du soutien des immigrants bangladais, n'ait pas rendu public tous les faits sur ce génocide. 

Les gouvernements indiens successifs ont tenté de gérer le problème de l'immigration bangladaise. En fait, la législation qui demande aux résidents de s'enregistrer auprès des autorités de l'état existe depuis 1951 lorsque la Commission nationale d'enregistrement (National Registration Commission – NRC) a été mise en place. Mais on aurait pas cette impression avec les reportages fallacieux de la presse internationale sur cette affaire. Au contraire, on est poussés à croire que le gouvernement indien poursuit une politique d'épuration ethnique en Assam. Le Guardian ignore complètement l'origine complexe du problème de l'immigration et à la place, se concentre sur le moyen de convaincre ses lecteurs que l'Inde devient l'Allemagne nazie

Les « activistes » bourgeois de gauche sur Democracy Now!, affirment que les pauvres sont exploités par les avocats pour prouver leurs droits de citoyens – un mensonge éhonté. En fait, New Delhi a mis en place des centres d'enregistrement (NRC) où les citoyens peuvent s'inscrire gratuitement. Des cours d'appel ont été créées pour s'occuper de ceux qui se trouvent exclus de l'enregistrement. 

Le problème en Assam est similaire à la crise dans l'état de Rakhine en Birmanie ; là-bas, des milliers de migrants bangladais ont traversé la frontière ces dernières années et commettent régulièrement des atrocités contre les bouddhistes et les hindous indigènes du Rakhine, qui sont devenus désormais de minuscules minorités. Des milliers d'hindous fuient tous les ans le Cachemire à cause des épurations ethniques commises par les musulmans. Dans les années 1990, des centaines de milliers d'hindous pandits kashmiris ont fait l'objet d'un nettoyage ethnique au Cachemire. Ces faits dérangeants sont scrupuleusement ignorés dans bien des reportages sur les conflits ethniques en Inde.

Les activistes hindous en Assam disent que, si l'immigration illégale musulmane en provenance du Bangladesh continue, ils pourraient bien devenir des réfugiés dans leur propre pays. Les crises des états d'Assam et du Rakhine sont des sujets d'études d'une grave importance sur ce qui s'ensuit lorsque une majorité religieuse et ethnique devient une minorité sur son propre sol.

Les musulmans, du fait de l'immense richesse des États du Golfe, ont des groupes de lobbying, d'ONG et d'organes de presse considérables qui propagent des fausses nouvelles, une rhétorique émotionnelle et une morale politiquement correcte sur « l'islamophobie » des pays dont ils s'emparent agressivement. 

La communauté musulmane sunnite est largement sous le contrôle de la version islamique de la franc-maçonnerie connue sous le nom de Frères musulmans. Ils sont de mèche avec la franc-maçonnerie occidentale et c'est pour cela que les soi-disants « laïcs » en Occident permettent aux mosquées financées par les wahhabites d'être construites partout en Europe où la haine des « infidèles » est prêchée régulièrement. Ces organisations mondialistes et islamistes sont responsables du génocide de millions de musulmans en Libye, en Syrie, en Iran, au Yémen et dans d'autres pays à majorités musulmanes. Nous ne devrions jamais oublier que les plus nombreuses victimes du terrorisme islamiste dans le monde sont musulmans. 

Les Frères musulmans et les barbares takfiris ont sali les musulmans avec l'étiquette de terroriste. Israël a bénéficié de cette politique et cela permet à l'entité sioniste de justifier son occupation brutale en discréditant la résistance palestinienne. Les pays islamiques et les organisations qui combattent le terrorisme comme l'Iran et le Hezbollah libanais sont une menace pour le djihad mondialiste et ses partenaires franc-maçons. 

Ce qu'il est nécessaire de comprendre, dans le cadre de discussions sur le problème de l'islamisation en Europe et à travers le monde, c'est qu'Israël se présente comme étant un « allié » de ceux qui combattent les djihadistes alors qu'en fait, Tel Aviv facilite leur prolifération et que ce sont les agences du régime sioniste qui sont responsables d'actes majeurs de terrorisme comme celui du 11 septembre. 

Une erreur courante que font cependant beaucoup de musulmans, lorsqu'ils analysent ces conflits est de croire que, parce que l'état en question a des liens avec Israël en ce qui concerne l'armée et les renseignements, cela signifie que ceux qui s'opposent à eux sont similaires aux Palestiniens. Par exemple, l'armée birmane a acheté des armes à Israël dans le passé. Les activistes musulmans et gauchistes utilisent ce fait pour suggérer que les Rohingyas sont similaires aux palestiniens alors qu'en fait, c'est plutôt les bouddhistes du Rakhine qui ressemblent le plus aux Gazaouis. 

Pourquoi les Celtes doivent écouter les hindous

Désormais, l'Inde fait face à une crise massive en Assam et peu d'auteurs ont compris son importance. Un quart de la population assamaise sont des étrangers bangladais. Les analystes indiens prédisent que les hindous indigènes de cet état vont devenir 
une minorité dépossédée dans quelques décennies – ce qui entraîne un risque de guerre civile.

L'administration Modi a un mandat démocratique fort parce qu'il essaye – au moins à certains égards - de servir les intérêts de la majorité indienne. En Irlande, nous avons un Premier ministre (Taoiseach), Leo Varadkar, qui est à moitié indien mais il ne sert même pas à moitié les intérêts irlandais. Au contraire, ses ministres tels que le ministre des Finances, Pascal O Donohue et les ministre des Affaires étrangères, Simon Coveney, participent à des réunions internationales comme la conférence de Bilderberg, à l'insu de la population irlandaise. Dans ces réunions, ils discutent des moyens d'augmenter l'immigration de masse en Irlande. Pourquoi personne au Dáil Éireann (chambre basse du parlement irlandais – NDT) ne les contestent au sujet de ces réunions secrètes et illégales ?

Quand il a été surpris revenant de Bilderberg il y a quelques années avec le représentant spécial de l'ONU pour les migrations internationales, Peter Sutherland, Simon Coveney a dit qu'il ne croyait pas aux théories conspirationnistes, ce qui est une très bonne raison pour lui de clarifier pourquoi lui, un officiel irlandais élu, participait à des réunions secrètes avec certaines des plus puissantes personnes du monde. 

La Banque Mondiale a dit que l'Irlande devra accroître son immigration pour que les salaires des travailleurs irlandais restent bas. Tous les partis « de gauche » soutiennent cette politique et utilisent « l'anti-racisme » et « l'anti-fascisme » comme armes contre la classe ouvrière. Nous devons faire preuve de solidarité envers les patriotes indiens ; certains d'entre eux travaillent même en Irlande. Il y a beaucoup de similarités culturelles, linguistiques et mythologiques entre les cultures ancestrales hindoues et gaéliques. Le spécialiste du gaélique Myles Dillon dans son œuvre « Celts and Aryans » (Celtes et Aryens) a noté ces similitudes. Par exemple, le vieil irlandais est la langue la plus proche du sanskrit.

Les patriotes hindous ont été bradés sous les régimes libéraux et mondialistes successifs – tout comme l'Irlande. Bien des spécialistes hindous rejettent désormais la théorie de l'invasion aryenne ; ils disent que c'est un mythe inventé par les Britanniques pour légitimer leur pouvoir en Inde. Mais bien d'autres spécialistes en Iran et en Irlande soutiennent que la théorie de l'invasion aryenne est fondée. Que l'une ou l'autre soit correcte, une chose que les Irlandais et les Indiens ont en commun aujourd'hui, c'est de se rendre compte que le remplacement de population au service du capitalisme financier n'est pas un mythe mais une réalité qui a atteint un point critique.

Les patriotes européens ont besoin d'apprendre plus sur les luttes des autres pays pour que les majorités de chaque pays puissent œuvrer ensemble afin de renverser le régime d'une minorité mondiale qui transforme rapidement les nations du monde en camps de réfugiés. 





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