Le récent débat entre le leader de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon et le candidat d'extrême droite Éric Zemmour est une illustration parfaite de l'absurdité d'un système politique qui exclut la vaste majorité des gens de la nation de toute représentation.
Des milliers de citoyens français prennent des repas dans la rue devant les restaurants, l'entrée leur est refusé à cause de l'exercice de leurs droits humains fondamentaux. Ils ne veulent pas de « médecine » de Big Pharma. Partout en France, des centaines de milliers de citoyens en colère protestent contre la dictature sanitaire de Macron. Nous sommes supposés être au milieu de l'une des épidémies les plus mortelles de l'histoire et cependant, les hôpitaux français virent du personnel en masse pour ne pas avoir pris les injections. Nous avons désormais une situation qui fait que, pour arriver à rentrer dans un hôpital, on doit prouver que l'on est pas malade. Nous vivons dans une catastrophe sociale et politique. Étant donné que des élections présidentielles et législatives doivent se tenir l'an prochain, on aurait pu espérer qu'il y aurait quelques candidats plausibles pour dénoncer cette situation.
Mais à la place, nous avons du Théâtre de Guignol sur les grandes chaînes de télévision entre une gauche gentille et angélique et une droite hideuse et cruelle. Chacune d'elle est le reflet exact de l'autre. Le débat récent, entre le leader de la gauche insoumise, Jean-Luc Mélenchon, et le candidat d'extrême droite Éric Zemmour, est une illustration parfaite de l'absurdité d'un système politique qui exclut la vaste majorité des gens de la nation de toute représentation.
Mélenchon, un immigrant marocain, joue le rôle de la gauche, et Éric Zemmour, un Juif algérien, joue le rôle de la droite. Il est plutôt approprié de dire qu'aucun de ces hommes ont des ancêtres en France. Les deux hommes sont en fait amis. Mélenchon a assisté à la fête d'anniversaire des 50 ans de Zemmour. Cela fait longtemps qu'ils se connaissent car Zemmour soutenait les mêmes causes que Mélenchon. A l'époque de Mitterrand, Zemmour jouait le rôle du progressiste et soutenait toutes les causes que les Juifs ont tendance à adorer : multiculturalisme, homosexualité, avortement – tout ce qui entraîne la dévastation d'une nation.
Mais ces dernières années, la synagogue lui a assigné un autre rôle : remplacer Marine Le Pen comme candidat de l'extrême droite. Pourquoi remplacer Marine Le Pen ? Après tout, pour certains, c'est une idiote incorrigible. Elle l'a prouvé au débat présidentiel avec Macron en 2017. Bien que Marine ait tout fait pour cirer les pompes « d'Israël, » les Grands Prêtres juifs de la République ont préféré avoir l'un des leurs comme candidat pour représenter la « France. »
Ainsi, il semblerait désormais qu'Éric Zemmour est en passe d'être le candidat salaud anti-immigration, raciste, sexiste et colonialiste. Zemmour a bien plus de talent que n'importe quel membre de la clique Le Pen. Il peut se livrer à des joutes oratoires, esquiver les coups, et connait toutes les ruses de faux-fuyant et de duperie. Zemmour est un candidat « Israël d'abord. » Les sionistes savent que les gens se rebellent contre l'élitisme libéral et par conséquent, nous avons désormais un candidat d'extrême droite dont le seul but et de s'assurer que les intérêts sionistes soient maintenus, qu'importe qui est élu. Lorsque des attentats terroristes sont orchestrés, il dit que nous devrions suivre l'exemple « d'Israël. » Lorsque on discute du problème de l'intégration musulmane, il dit que les musulmans doivent suivre l'exemple des Juifs. Mais l'un de ses coreligionnaires et « ennemi politique, » Jacques Attali, a expliqué que les Juifs contrôlent déjà une partie importante de la population musulmane française, avec la finance. Il pense que c'est une bonne chose. Il est financé par l'un des noms les plus prometteurs de la finance juive française.
Attali, l'inventeur « de gauche » de Macron, a admis ouvertement que Zemmour est un ami à lui et qu'ils ont souvent diné ensemble. Ils se payent probablement une bonne tranche de rire en pensant aux idiots qui les regardent débattre à la télé !
Certains anti-vaccin pourraient être encouragés par le fait que Zemmour affirme être contre l'obligation vaccinale. Mais il est en faveur du pass COVID. Et si la France suit l'exemple de la Lituanie, le Pass pourrait au final être demandé pour quitter son domicile. Et Mélenchon ? C'est un membre de la même loge maçonnique que le président Macron. Il n y a absolument aucune différence entre les politiques de Macron et celles de Mélenchon. Les deux ont juré de servir l'agenda globaliste du Nouvel Ordre Mondial. Ils ont bien sûr des rôles différents mais on a donné la mission à Mélenchon comme à Zemmour, de s'assurer que Macron soit réélu. Les élites savent qu'aucun des deux hommes n'ont une quelconque attractivité parmi la classe ouvrière française. Mélenchon est un trotskyste typique, tout rempli de rhétorique prétentieuse et de malhonnêteté écœurante. Il n'est pas pas populaire dans la France rurale. La chutzpah et l'élitisme de Zemmour ne parlent guère à la classe ouvrière Gilet Jaune désargentée non plus.
Les sous-marins nucléaires ont été donc rejetés en faveur de l'alliance anglo-américaine ; alors que la dette nationale est devenue incontrôlable et que des rumeurs se répandent sur la perte éventuelle pour la France du siège au Conseil de Sécurité des Nations-Unies en faveur d'un super état européen, on présente aux citoyens français le spectacle familier d'une fausse gauche débattant avec une fausse droite. Aucun des deux hommes n'ont quoi que ce soit de substantiel à dire quelque soit le sujet. Mélenchon veut mettre fin au nucléaire.
Zemmour dit que la position anti-nucléaire de Mélenchon transformerait la France en « Grand Liban. » Il a bien sûr raison mais il ne conteste pas le fondement entier des absurdités de Mélenchon. Il ne dévoile pas le fait que l'agenda anti-nucléaire tout entier est basé sur de la pseudo science et de l'hystérie verte. Zemmour ne veut pas défier le sacro-saint changement climatique. Après tout, sans croyance en la destruction anthropologique de la planète, il ne peut pas y avoir la dictature mondiale souhaitée par les globocrates.
Le punching-ball de l'opération toute entière, c'est l'ouvrier musulman, le propriétaire de l'épicerie du coin qui travaille dur, le chauffeur de taxi, etc. Zemmour comme Mélenchon les haïssent car aucun des deux ne permettra aux Français de savoir qui tire les ficelles du complexe militaro-industriel-médiatique et du renseignement.
Ai-je dit qui ? Le 10 août dernier, Cassandre Fristot, une enseignante, a été arrêtée et accusée d'antisémitisme pour avoir brandi une pancarte dans une manifestation contre la vaccination forcée.
La pancarte mentionnait quelques uns des responsables de la dictature du COVID. Certains étant juifs, les oligarques ont décidé d'intervenir. En France, « qui », utilisé dans n'importe quel sens antagoniste rhétorique ou politique, est désormais un pronom interrogatif antisémite. Et c'est à peu près la même chose dans de nombreux pays « libéraux-démocratiques » de nos jours. Par conséquent, la question qui concerne les élections françaises à venir n'est pas qui va gagner. L'oligarchie a déjà gagné. La question est de savoir si les Français vont enfin exiger de savoir qui exactement est en train de ruiner leur pays.
Retrolien : https://jeune-nation.com/actualite/actu-france/les-elections-a-venir-concernent-israel-et-non-la-france
"La question est de savoir si les Français vont enfin exiger de savoir qui exactement est en train de ruiner leur pays."
RépondreSupprimerUne seule et unique question valable pour tous les problèmes qui engluent ce pays avec une seule unique réponse !
Merci à vous. La vraie question est bien sûr celle du "QUI" !
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