La décision du président français Emmanuel Macron d'imposer des passeports vaccinaux pour accéder aux magasins, restaurants, cafés et bars, est une étape importante dans la direction de la redéfinition de la liberté. Par conséquent, être libre c'est être considéré comme étant « en bonne santé » par le gouvernement.
Pourtant, si on a le SIDA, la lèpre, la tuberculose ou d'autres maladies infectieuses, on peut rentrer sans condition. Bien sûr, tout cela a un sens en #Absurdistan#. Le Covid-19 est clairement la maladie la plus abominable depuis la Peste Noire. L'an dernier, une religieuse française qui avait 117 ans a attrapé le Covid. Elle s'en est remise. Mais elle aurait pu mourir ! Imaginez !
Qu'est-ce que la mort ? Y a-t-il quelqu'un pour poser cette question désormais ? Notre monde moderne athée vit dans un déni béat de la mort. Cependant, une peur irrépressible de notre finitude s'infiltre sous les apparences. On a l'impression que la psychose est impulsée par notre angoisse inconsciente de la mort. Les élites de Davos nous expliquent qu'il n y aura pas de « retour à la normale. » Les gens vivent dans une sorte de deuil des libertés qu'ils ont perdu.
Le régime du COVID en émergence préfigure l'horreur de l'enfer. L'horreur de l'enfer, ce n'est pas le feu et la douleur, mais le fait que cela ne peut pas finir, que personne ne peut mourir. Par conséquent, notre peur irrationnelle de la mort est en un sens, un présage de la douleur, nous rendant compte que nous ne pouvons pas y mettre fin.
Il est stupide de penser que ce régime puisse être renversé sans prière et repentance pour nos péchés. Le péché, c'est notre maladie mais cela ne veut pas dire que l'action politique est futile. Les batailles physiques doivent être gagnées pour récupérer nos pays contre ces psychopathes technocratiques. L'avenir de nos enfants en dépend. Ce dont nous sommes témoins, c'est la disparition du concept moderne de la liberté abstraite. La liberté européenne, comme Marx l'avait correctement compris, c'est la liberté de la classe dirigeante.
L'an dernier, les Français étaient flegmatiques et dociles. Pendant que des millions de manifestants sortaient dans les rues de Londres et Berlin pour protester contre les confinements, les Français semblaient endormis. C'est pourquoi Macron a pris le risque d'imposer le passeport vaccinal pour mettre en place une technocratie absolutiste, mais il est sans doute allé trop loin cette fois-ci.
Les Français se sont soulevés. Des centaines de milliers de gens sont descendus dans la rue le 24 juillet dernier pour protester contre la dictature covidiste mais il semblerait que l'oligarchie va utiliser ses combines habituelles. Ils se sont tournés vers « l'opposition » contrôlée de gauche.
Jean-Luc Mélenchon, leader du parti ironiquement nommé « La France Insoumise » et François Ruffin, un autre agent de gauche de l'oligarchie, se sont manifestés en tant que soutien du mouvement de protestation. Aucune de ces fripouilles n'a jamais soutenu un seul mouvement réellement populaire. Ils sont là pour empêcher toute rébellion efficace. Leur implication dans la protestation démontre que l'oligarchie veut que l'accent soit mis sur la question de l'imposition des vaccins plutôt que sur l'extrêmement dangereuse technologie expérimentale de l'ARNm imposée par les lobbys pharmaceutiques.
Les lobbys pharmaceutiques ne veulent pas qu'il y ait débat sur la sécurité de leur technologie ARN non encore testée. Par conséquent, l'opposition contrôlée va conserver l'attention sur la défense du concept mort de la liberté.
La France a la réputation d'être vaccino-sceptique. Les grands médias n'expliquent jamais pourquoi. La raison est simple : les Français mangent bien, ont une vie saine et ont un bon niveau général d'éducation. Ils ne croient pas tous que rester en bon santé nécessite d'être injectés avec des cocktails de produits chimiques expérimentaux.
De plus, c'est la science française au XIXe siècle qui jeté les bases de ce qui devrait être le débat actuel sur la santé : soit qu'on devient malade lorsqu'un microbe pénètre dans notre corps ou soit qu'une maladie est le résultat d'une combinaison d'agents internes et externes au corps. La première théorie, celle du microbe, est surtout associée à Louis Pasteur.
L'autre vision organique de la santé doit beaucoup surtout au biologiste moins célèbre, Antoine Béchamp. Béchamp a mené des milliers d'expériences qui ont démontré que c'est la vitalité du milieu intérieur du corps, son terrain interne, qui est la clé de sa santé. Selon l'ouvrage de Gerald L. Geison, The Private Science of Louis Pasteur, le célèbre chimiste français a falsifié bon nombre de ses expériences pour prouver l'efficacité de la vaccination. Pasteur a utilisé ses contacts politiques pour obtenir des fonds pour son travail, et l'état laïc ne pouvait pas résister à l'opportunité de jouer Dieu avec des programmes médicaux préventifs de masse.
Le statut ultérieur de Pasteur comme grand scientifique a fait beaucoup pour propulser le culte actuel du scientisme : la croyance absurde que les scientifiques sont des demi-dieux avec les solutions à tous nos problèmes. Pasteur a réduit le processus vital à de la matière morte, alors que Béchamp a vu les ambiguïtés des forces complexes de la vie. La vision abstraite de la liberté basée sur le déni de Dieu et de la loi morale collait parfaitement avec le réductionnisme de Pasteur.
Le mouvement de protestation actuel risque de tomber dans le même piège que celui des Gilets Jaunes, s'il est mené par des imbéciles comme Mélenchon ou Ruffin. La seule façon de sortir de cette crise de civilisation est de former des structures économiques, sociales et politiques parallèles à celles de ce système capitaliste morbide. Cela demande de la créativité et de la détermination. Ces gens qui refusent de se soumettre à l'agenda du Nouvel Ordre Mondial devraient former des communautés étroitement liées, vivant simplement et de manière viable.
Toutes les dictatures finissent par s'écrouler. Ce régime s'écroulera un jour aussi. Être exclus de cette société corrompue et des sociétés de monopole va nous donner l'occasion de construire nos propres alternatives. Il est temps de sortir d'internet et de rencontrer physiquement tous ces gens qui résistent à la tyrannie covidiste. Il y a une expression en gaélique irlandais qui dit ceci : níl neart gur chur le chéile, il y a seulement de la force dans le nombre (on dirait plus volontiers en français : « l'union fait la force » NDLT). Ils nous ont divisé. Nous devons nous concentrer sur l'unité.
On ne peut pas tuer un système qui est déjà mort. Nous devons à la place nous concentrer sur la construction de nouveaux avenirs en dehors du système. Construire le terrain interne du corps et de l'âme est aussi important que combattre les agents pathogènes du régime technocratique. Ora et labora, prière et travail, ces valeurs bénédictines ont construit la civilisation occidentale. La révolution n'est pas nécessairement un événement épique avec des drapeaux, des prises d'assaut de bâtiments gouvernementaux et d'exécutions ; cela devrait être la transformation morale totale de nos vies, un donjon interne construit pour durer. Face à un monde obsédé par la longévité, la santé et le confort, nous disons memento mori, souvenez-vous que vous devez mourir. Les chrétiens ne craignent pas la mort mais le Jugement qui vient après notre mort. Le régime de mort macronien n'a pas d'avenir. Ce sont les millions de patriotes français qui vont au final « mieux reconstruire* »
* Traduction du slogan mondialiste Build Back Better
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